Je suis dans une période cuisine japonaise. Oui chez moi c’est comme ça, c’est par période. Du coup pour satisfaire mes envies culinaires, j’ai fait le plein d’ingrédients et je me suis lancée dans les tzukune, ces délicieuses boulettes de poulet caramélisées que l’on trouve dans tous les restaurants japonais.
C’est la saison des soupes. L’autre jour pour changer un peu, j’ai revisité la traditionnelle soupe poireau-pomme de terre. Au lieu de mixer le tout, j’ai laisse les légumes en morceaux et j’ai utilisé tout le poireau, le vert et le blanc. Beaucoup de gens coupent les feuilles pour ne garder que le blancs du poireaux. C’est vraiment du gâchis car le vert, riche en micro-nutriments se mange. Je ne dis pas en vinaigrette mais incorporer dans les soupes ou les quiches ça passe très bien. La preuve avec cette soupe poireaux-pommes de terre en morceaux où j’ai bien le poireau entier.
Après la salade de chou à la japonaise dont je vous livrais la recette hier, j’ai eu envie de tenter la soupe miso. La soupe miso est un incontournable de la gastronomie japonaise au même titre que le riz. Il faut savoir qu’il y a quasiment autant de recette que de japonais. Il en existe donc une multitude de variantes. Moi j’ai eu envie d’agrémenter ma soupe miso de champignons noirs.