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Roman

La vie d’une autre de Frédérique Deghelt

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on 4 novembre 2010

9782253125778Dernière lecture ? La vie d’une autre de Frédérique Deghelt. L’histoire de Marie qui un beau matin se réveille en ayant oublié les 12 années qui viennent de s’écouler. Pour elle, on est au lendemain de sa rencontre avec l’homme qui deviendra son mari, Pablo. Que s’est-il passé pendant ces douze ans ? Quel évènement l’a amené à effacer douze ans de son existence comme ça en une nuit ? c’est ce que Marie va tenter de comprendre petit à petit, en renouant avec son passé, ses amis perdus de vue, la sage femme qui l’a aidé à mettre au monde ses enfants…

Un très beau roman sur l’amour, la mémoire, la place du souvenir dans la construction d’un couple. Perso j’ai bien aimé :) Je l’ai lu vite; bon faut dire aussi que 250 pages c’est pas gros roman non plus, on est d’accord mais quand même ça se lit très bien. Le style de Frédérique Deghelt est très agréable. Quand ça s’arrete, on voudrait en savoir plus. Que va faire Marie ?

La quatrième de couv’ : Marie a vingt-cinq ans. Un soir de fête, coup de foudre pour le beau Pablo, nuit d’amour et le lendemain… Elle se réveille à ses côtés, douze ans plus tard, mariée, mère de trois enfants, sans un seul souvenir de ces années écoulées. Comment faire pour donner le change à son entourage ? Et comment retrouver sa propre vie ? C’est avec une énergie virevoltante et un optimisme rafraîchissant que Frédérique Deghelt a écrit ce roman sur l’amour et le temps qui passe, sur les rêves des jeunes filles confrontés au quotidien et à la force des choix qui déterminent l’existence.

Prochaine Lecture : Les fabuleuses aventures d’un indien malchanceux qui devint milliardaire.

Quitter le monde de Douglas Kennedy

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on 22 octobre 2010

9782266199964Jane Hovard a treize ans quand elle déclare à ses parents qu’elle ne se mariera jamais et n’aura jamais d’enfants car on ne peut être heureux comme ça. De cause à effet, son père quitte le domicile conjugal. Jane grandit, passe un doctorat de lettres à Harvard puis débute une carrière dans la finance avant de revenir à l’enseignement rattrapé par le passé  trouble de son père. Installée dans une petite ville, elle y rencontre Théo, un cinéaste dont elle tombera enceinte. Mais la vie est cruelle et Théo n’hésite pas à l’escroquer. Déprimée, fatiguée, en pleine dérive, elle perd sa fille dans un accident de la circulation. Et c’est la rupture, Jane tente de mettre fin à ses jours…

Douglas Kennedy a choisi de déverser sur son héroïne tous les maux de la terre. La vie n’épargne pas Jane, c’est le moins que l’on puisse dire. Écrit à la première personne à la manière d’une autobiographie, on va suivre l’héroïne de l’intérieur, plongé au plus profond de son âme, de ses peines et de ses tourments.  Et c’est sans doute ce qui fait la force de ce roman où Douglas Kennedy choisit d’analyser les affres de la culpabilité et son impact sur la construction de l’être. Jane est rongée par la culpabilité du début à la fin du roman. Elle est culpabilisée  d’abord par sa mère qui lui reproche le départ de son père; elle se culpabilise sur le suicide de son amant à Havard; elle culpabilise de la mort de sa fille qu’elle n’a pu empêcher; elle culpabilise après les horreurs qu’elle a pu dire à son collègue à la bibliothèques dans un moment de souffrance. La vie de Jane se construit autour de la culpabilité qu’elle ressent à chaque fois. Personnellement j’ai adoré ce roman. C’est sans doute mon préféré parmi tous ceux de Douglas Kennedy que j’ai pu lire.

La quatrième de couv’ : « Je ne me marierai jamais et je n’aurai jamais d’enfants. » Lorsqu’elle prononce cet arrêt, Jane a 13 ans. Le lendemain matin, son père aura fait ses valises. Hasard ? Coïncidence ? La culpabilité ne s’embarrasse pas de ces questions : toute sa vie, Jane s’en mordra les doigts.

De Harvard à Boston, des belles lettres aux manipulations boursières, tout ce qu’elle touche se dérobe, tout ce qu’elle aime lui échappe. Et lorsque, enfin, la vie lui fait un cadeau, c’est pour lui reprendre aussitôt. Alors Jane n’a qu’une obsession : fuir, n’importe où, hors du monde. Mais à vouloir le quitter, c’est lui qui vous rattrape…

Prochaine lecture : La vie d’une autre de Frédérique Deghelt

L’amour dure trois ans de Fréderic Beigbeder

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on 12 octobre 2010

9782070414574Le dernier livre que j’ai lu c’est L’amour dure trois ans de Frédéric Beigbeder. Après en avoir beaucoup entendu parler, j’ai finalement sauté le pas et l’ai acheté il y a quelques semaines, comme ça sur un coup de tête. L’histoire est celle d’un homme, un écrivain qui vient de divorcé de sa femme, Anne et émet une théorie très simple, l’amour dure trois ans. Il n’y a rien à faire, c’est comme ça. Pour affronter cette réalité, il va faire la fête, se saouler, écrire un nouveau livre, tenter de se réconcilier avec sa femme, harceler sa maitresse pour qu’elle divorce, coucher avec la meilleure amie de cette dernière. Jusqu’à ce qu’il finisse par fêter le troisième anniversaire de vie commune avec une femme…

J’ai aimé, j’ai pas aimé ? J’en sais fichtre rien!!! Je n’arrive pas à avoir une opinion sur ce petit roman. Cet opus de Beigbeder sorti avant 99 francs, a de quoi étonné par son style d’abord. Puis, par la savante ambiguité entre auteur et narrateur qui se joue tout du long. L’auteur raconte t’il sa propre histoire, celle de son personnage Marc Marronier ? Enfin ce petit roman étonne par le cynisme dont l’auteur fait preuve. J’avais rien lu de Beigbeder avant cela mais je crois que je vais renouveller l’experience avec Un roman français. Pour voir. Pour me faire une idée un peu plus précise de son style, pour confirmer ou infirmer mes premières impressions.

La quatrième de couv’ : La troisième année, il y a une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne nouvelle : dégoûtée, votre femme vous quitte. La mauvaise nouvelle : vous commencez un nouveau livre.

Prochaine lecture : Quitter le monde de Douglas Kennedy

Samantha, bonne à rien faire de Sophie Kinsella

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on 6 octobre 2010

9782266181389Aujourd’hui c’est note de lecture. Je suis un peu à la bourre dans ces notes, j’ai lu plus que ce que je vous en ai raconté. Donc j’essaie de combler le retard et commence à vous parler de Samantha, bonne à rien faire de Sophie Kinsella. L’histoire est celle de Samantha, jeune avocate sur le point de devenir associée dans un prestigieux cabinet londonien. Mais voilà le jour de sa promotion, elle se rend compte qu’elle a oublié d’enregistrer une créance pour l’un de ces clients et qu’il vient de perdre une somme faramineuse par sa faute. Prise de panique, elle quitte Londres et se retrouve dans un petit village où sur un quiproquo elle se fait embaucher par un couple d’excentriques comme bonne à tout faire sous le regard médusé du jardinier. Jusqu’au jour où, elle va réussir à faire toute la lumière sur l’affaire qui lui a couté son job…

Alors, alors, qu’est ce que j’en ai pensé ? et bien, j’ai aimé contrairement Aux petits secret d’Emma du même auteur. C’est très, très, très moralisateur mais vu que c’est extrême, ça passe bien. Et puis c’est l’amour qui finira par triompher de tout ça donc tout va bien :) A lire pour se détendre dans le métro ou sur la plage, ça reste quand même de la chick lit.

La quatrième de couv’ : Ni soirées, ni week-ends, ni vacances, ni amoureux : Samantha, la trentaine, ne vit que pour son job d’avocate d’affaires et pour la promotion dont elle devrait bientôt bénéficier. Hélas, en une journée, elle fait perdre à son meilleur client plus de cinquante millions de livres. Désespérée, elle prend la fuite et se retrouve à la campagne où, sur un malentendu, elle se fait embaucher comme gouvernante chez un couple de charmants excentriques. Micro-ondes, fer à repasser, aspirateur : Samantha découvre un monde inconnu peuplé d’objets étranges. Et ce n’est pas parce qu’on a 168 de Q.I. qu’on sait faire marcher une machine à laver ! Le bonheur est-il vraiment dans le pré ?

Prochaine lecture : L’amour dure trois ans de Fréderic Beigbeder