Kao Pat, un bon thaï pas cher

Posted in Un resto à Paris ?
on 14 août 2012

Je suis allée manger l’autre jour chez Kao Pat à deux pas du Louvre. Kao Pat, c’est une cantine thaïlandaise que j’avais repéré sur le blog Resto de Paris (rendons à César, ce qui est à César :) ) et qui me faisait de l’œil depuis un moment. Malheureusement pour moi c’est fermé le samedi midi et le dimanche. J’ai donc du attendre d’avoir quelques jours de congés pour y manger.

Ici on vous sert des plats thaï et que ça. Vous choisissez la formule qui vous plait et on vous amène le tout sur un plateau. Au menu, deux petites entrées, un plat chaud et du riz.

Ce jour là, moi j’avais pris la formule n°8. J’ai eu deux nems aux crevettes et légumes, une petite salade aigre-douce de vermicelle et herbes et des crevettes sauce piquante.

Ma foi, c’était sacrément bon. C’était bien épicé, comme en Thaïlande. La seule chose, j’ai trouvé la salade un peu petite (enfin plus petite que ce que j’avais pu voir sur le net).

Côté prix, on ne se ruine pas en venant manger là. Il faut compter entre 9,50 et 12,50 le repas selon la formule que l’on prend.

En tout cas, moi c’est une adresse que je retiens pour manger thaï pas cher et c’est sure que dès que l’occasion se présentera je ne manquerai pas d’y retourner :)

 

C’est où ?

Kao Pat
53 rue de Richelieu

75001 Paris

Ouvert du lundi au vendredi de 12h à 15h puis de 19h à 22h, le samedi de 19h à 22h.

 

Autres restaurants thaï que j’aime : Baan Sampong (15ème), Ko Samui (14ème), Prik Thaï (14ème)

Vacances j’oublie tout…

Posted in 3615 My life
on 10 août 2012

Hii c’est les vacances!! Enfin les vacances, je devrais dire :) Vacances bien méritées s’il en est et les dernières avant longtemps. Du coup je compte bien en profiter à fond. Au programme, du soleil, la mer, des apéros en terrasse, du farniente au bord de la piscine, des balades. D’ailleurs à l’heure où vous lisez ces lignes, moi je suis en route pour l’aéroport direction une île de la méditerranée.

On se retrouve dans une petite semaine. D’ici là soyez sage. J’espère pouvoir poster deux trois trucs de la-bas grâce au wifi de l’hôtel. Et puis je vous ai concocté quelques articles qui se publieront tout seul, bande de petits veinards.

Sur ce, bonnes vacances à ceux qui partent, bonne reprise à ceux qui rentrent et bon courage aux autres :)

Pizza Wawa

Posted in Un resto à Paris ?
on 6 août 2012

Tiens je vous ai pas encore raconté mais j’ai testé une nouvelle pizzeria l’autre jour. Ça s’appelle Pizza Wawa. C’est pas loin des Halles et on y vient pour manger une pizza et que ça. Exit en effet les traditionnelles escalopes milanaises ou les pates que l’on trouve à la carte des pizzeria généralement, ici c’est pizza un point c’est tout. Mais pas n’importe quelle pizza, des pizzas revisitées.

A la carte donc des pizza classico, des souflés mais aussi des pizzas roulées ou encore à pates épaisses. C’est par cette dernière version que je me suis laissée tenter. Une Luigi avec de la crème d’artichauts, des champignons, des artichauts à la romaine, de la mozzarella et des tomates cerises.

La pate n’a rien à voir avec la pate à pain des pizzas traditionnelles. Et si au départ, ça surprend un peu, c’était néanmoins très bon.

Après ça, en dessert, j’ai succombé à une pizza au caramel et aux pommes :

Là j’aurai une récrimination à faire : ça manque un peu de pommes. Deux, trois bouts de pommes en plus auraient été les bienvenus hein! D’autant que la pomme c’est pas le fruit le plus cher du monde même en cette saison et que là j’ai même pas eu une demi pomme sur ma pizza.

Côté tarif, il vous faudra débourser entre 9 et 17 euros pour une pizza et entre 5 et 8 euros pour le dessert soit entre 14 et 25 euros le repas par personne. Ça reste raisonnable.

Est-ce que je reviendrais ? Et bien oui ne serait-ce que pour gouter les pizzas roulées qui ne sont servies que le soir :)

C’est où ?

Pizza Wawa

35 rue Saint-Honoré
75001 Paris

L’enfant d’Emma d’Abbie Taylor

Posted in Lecture
on 1 août 2012

Emma rentre d’une ballade avec son fils Ritchie. Encombrée avec la poussette, ses sacs de courses, elle décide dans le métro de faire monter d’abord Ritchie dans la rame. Mais voilà qu’alors qu’elle se penche pour ramasser ses affaires, les portes se referment et le métro démarre. Affolée, Emma jette un œil dans le wagon et aperçoit une femme à côté de son fils. Qui qu’elle soit, cette femme lui rendra son enfant à la station suivante. C’est sur, Emma n’en doute pas. Elle se précipite à la rencontre de la femme qu’elle a aperçu mais celle-ci s’empare de Ritchie et disparait dans la nuit. Emma seule et déboussolée, va alors tout tenter pour récupérer son fils. Pour cela, elle suivra la piste de son enfant jusqu’en France et ne lâchera pas avant de tenir Ritchie dans ses bras à nouveau. Voilà résumé l’histoire du roman d’Abbie Taylor, L’enfant d’Emma.

Premier point: j’ai beaucoup aimé et à environ la moitié j’ai vraiment été happé par l’histoire au point de ne plus le lâcher. En effet petit à petit, le doute s’installe pour le lecteur comme pour les policiers britanniques qui mènent l’enquête sur la disparition du petit garçon : Emma aurait-elle commis l’irréparable sur son fils ? Aurait-elle inventé toute cette histoire d’enlèvement jusqu’à s’en convaincre elle-même ? Le doute s’installe pour le lecteur. Et si le dénouement révélait qu’Emma a tué son fils ? Le suspense est bien maintenu tout au long du roman même si certaines scènes sont prévisibles.

Côté personnages, c’est peut-être un peu caricatural. On a une jeune mère célibataire seule au monde, un ex-flic engagé, un inspecteur antipathique et un agent de liaison police/famille dont on ne sait pas bien de quelle côté elle est. Pourtant on s’attache à eux. C’est peut-être dû à la manière dont le roman est écrit. Toute l’histoire en effet est écrite du point de vue d’Emma et on navigue des jours qui suivent l’enlèvement à des épisodes du passé d’Emma comme la mort de sa mère, sa rencontre avec le père de son enfant. Cette manière d’écrire permet de brosser un portrait tout en finesse du personnage et de comprendre sa dérive actuelle.

Au final, c’est un bon premier roman que voilà. Perso je pense me procurer le second pour voir si cela se confirme :)

La quatrième de couverture : Une minute d’inattention, le petit Ritchie échappe à Emma, jeune mère célibataire. La panique l’envahit, mais elle doit vite reprendre ses esprits. Ce n’est pas grave, il ne peut rien arriver à Ritchie : Emma a eu le temps d’apercevoir une femme à côté de lui avant que les portes du métro ne se referment. Celle-ci ne peut que l’aider à retrouver son fils. À moins que ses intentions soient tout autres…
Emma se retrouve seule face à l’incrédulité des gens pour retrouver son enfant, coûte que coûte.

Prochaine lecture : Un jour de David Nicholls