Le jour où j’ai decouvert Kiko

Posted in J'ai testé pour vous (ou pas), Vernis
on 13 septembre 2012

Après en avoir entendu parler un peu partout, après être passée devant leur boutique à la gare Saint-Lazare un nombre incalculable de fois, je me suis enfin décidée à entrer dans une boutique KIKO et à tester leurs produits. Mais pas n’importe quel produit bien sûr. Je voulais tester leurs vernis à petits prix. Les vernis classiques sont en effet vendu 2,50 euros le flacon. A ce prix là, que peut-on espérer ? C’est ce que je voulais savoir. Du coup, j’ai pas acheté un vernis mais six :) J’ai pris en effet 4 classiques : trois dans les tons roses et un gris.

J’ai aussi embarqué deux vernis holographiques de la collection Lavish Oriental, le gris et le beige. Oui chez moi pas de demi-mesure :) C’est un peu tout ou rien.

A peine rentrée que je posais le vernis holographique gris sur mes ongles. Et j’ai été bluffée! Premier bon point, il est facile à poser. J’ai mis une base (de chez Kiko aussi tant qu’à faire) puis deux couches de vernis et le top coat et j’ai obtenu un très joli rendu.

Deuxième bon point, il tient plutôt bien. Je l’ai gardé quatre jours sans souci avant de devoir l’enlever.

Troisième bon point, il est joli. On m’a d’ailleurs complimenté dessus.

Quatrième bon point, il a été facile à retirer. En un tour de main avec le bain dissolvant, mes ongles étaient nickel.

Enfin, il n’est pas cher. Si les vernis holographique sont plus chers que les autres à 4,90, ça reste très raisonnable à mon sens.

Bref pour moi pour le moment, les vernis KIKO ont tout bon. D’ailleurs, je suis repassée à la boutique et j’ai craqué sur un bordeaux brillant :)

New Victoria (Tome 1) de Lia Habel

Posted in Lecture
on 11 septembre 2012

Je viens de finir New Victoria (tome 1) de Lia Habel. L’histoire commence à la veille de Noël à Elysian Fields, une ville construite dans les entrailles de la terre et où le ciel, les étoiles et les arbres sont des hologrammes. Nous sommes en 2195. Nora Dearly, jeune orpheline, s’apprête à rentrer chez elle pour les vacances de Noël. Sur le chemin du retour, elle est abordée par un homme étrange qui essaie de l’entrainer avec lui. Nora parvient à s’enfuir et à rentrer chez elle. Quelques jours plus tard, elle est attaquée dans sa maison par d’étranges créatures. Réfugiée sur le toit de sa maison, elle est secourue par une faction rebelle dont la mission est en fait de l’enlever. Nora se réveille dans une base militaire où cohabite des vivants et des morts miraculeusement ressuscités. La jeune fille découvre alors que son père, le docteur Dearly, qu’elle croyait mort est en fait un de ces zombies. Mais le docteur a disparu alors qu’il tentait de rejoindre sa fille pour lui venir en aide. Tandis que la maladie se propage dans la ville créant la panique, Nora apprend à connaitre ces créatures et petit à petit se lie d’amitié avec le jeune capitaine Bram Griswold et son équipe. Je n’en dirai pas plus pour ne pas gâcher le suspense :)

Mon avis ? J’ai beaucoup aimé. J’ai beaucoup aimé ce livre même si à la base, les histoires de zombies, ce n’est pas ma tasse de thé. D’ailleurs je ne suis même pas sur d’avoir lu une seule histoire de zombies par le passé. Et pourtant, j’ai accroché à l’histoire. J’ai tellement accroché que plusieurs fois, j’ai fait dix stations de métro sans m’en rendre compte.

Qu’est ce qui m’a donc plus tant que ça ? D’abord le mode de narration. Si le roman est écrit à la première personne, c’est un récit polyphonique. L’histoire progresse en effet racontée par chacun des personnages principaux de ce récit : Nora, Bram, Pamela la meilleure amie de Nora, le docteur Dearly et même à un moment le traitre Wolfe.  Ce qui se passe à Elysian Fields est ainsi raconté par Nora d’abord puis par Pamela, ce qui se passe à la base militaire est racontée par Bram et Nora, etc. De cette façon, nous embrassons toute l’histoire d’un seul coup sans qu’il y est des redites. Deuxièmement, bien que nous soyons dans le futur, le récit est très réaliste. Exit les fusils laser. Tout se passe comme à l’ère victorienne mais en 2195. Le roman s’inscrit en effet dans le courant que l’on appelle steampunk (je vous rassure, la première fois que j’ai entendu le mot, je suis allée voir sur wikipédia de quoi, il retournait), de la science-fiction dont l’action se déroule dans l’atmosphère de la société industrielle du XIXe siècle. Et ça pour moi, ça a beaucoup contribué à me faire rentrer dans l’histoire. Troisième point, j’ai trouvé intéressante la représentation des zombies. Ils sont en effet répartis en deux catégories : « les gentils » doués de raison et capable de raisonnement ou de sentiments et « les méchants » assoiffés de sang. Les amis de Nora se trouvent bien sûr dans la première catégorie :) Enfin le dernier point, c’est la romance entre Nora et Bram, entre une vivante et un zombie. Cette histoire d’amour impossible contribue à humaniser le roman.

Bref ça a été pour moi une jolie découverte et je remercie les éditions Castelmore pour m’avoir envoyé ce livre dans le cadre d’un partenariat sur Livr@ddict. Maintenant j’ai hâte de lire la suite :)

La quatrième de couv’ : L’amour ignore les frontières, dit-on. Et celle entre la vie et la mort?
Bienvenue à New Victoria, le dernier refuge d’une humanité éreintée par les guerres. Les jeunes filles de bonne famille y ont un destin tout tracé: épouser un membre de la haut société et collectionner les robes de bal.

Nora n’a jamais aimé se plier aux règles, surtout depuis la mort de son père, l’éminent docteur Dearly. Mais rien, dans sa délicate éducation victorienne, ne l’a préparée à un violent kidnapping, ni à survivre dans le camp d’une faction rebelle. Avec l’aide d’un séduisant soldat, elle devra pourtant surmonter ses craintes et ses préjugés pour comprendre la nature du véritable danger qui menace les vivants… comme les morts!

Prochaine lecture : A découvert de Harlan Coben

Une visite au pays de Némo

Posted in On sort ?
on 10 septembre 2012

Ça faisait un moment que j’avais envie d’aller visiter l’aquarium de Paris mais les tarifs m’ont toujours un peu rebuté. Et puis un petit jeu sur Twitter en juillet et me voilà l’heureuse gagnante d’un pass famille offert par Living social. Du coup, j’ai embarque ma nièce, sa mère et sa grand-mère pour un petit tour au pays de Némo.

Le petit plus : le bassin des caresses. Vous me direz c’est quoi ce truc ? un bassin où l’on peut plonger les mains et caresser les poissons.Si, si, j’vous jure. Même qu’il y en a eu un qui confondait mon doigt et sa bouffe :)

Le gros moins : le prix.C’est cher, voir très cher pour ce que c’est.  Pensez à faire un petit tour sur le net avant de prendre vos billets, il y a régulièrement des promos.

Un moins gros moins : c’est sombre.

C’est où ?

Aquarium de Paris

5 avenue Albert de Mun

75016 Paris

Les tarifs :
Adultes : 19.50 Euros
Enfants (< 3 ans ) : Gratuit
Enfants (3 à 12 ans inclus) : 12.50 Euros
Jeunes (13 à 17 ans inclus) : 15.50 Euros

La brouette

Posted in Un resto à Paris ?
on 7 septembre 2012

Voilà un petit restaurant situe dans le quartier Mouffetard dont je dois vous parler depuis un petit moment. Son nom ? La brouette.

On y va pour déguster une fondue savoyarde ou une pierrade mais pas que. On y va aussi pour leur menus tout compris qui proposent de nombreux plats traditionnels. C’est d’ailleurs sur un menu que notre choix c’est porté. Ce n’est pas particulièrement original, ce n’est pas de la grande cuisine mais c’est bon.

Nous avons choisi le menu entrée/plat/dessert à19,90 euros. En entrée, le choix est impressionnant. Cela va du carpaccio de saumon frais à l’huile d’olive et aneth à la Soupe de poisson avec sa rouille et ses croutons en passant par le cocktail d’avocat aux crevettes. Personnellement, j’ai choisi un bloc de foie gras.

En plat, rebelote. Y a du choix : Filet de dorade à la provençale, escalope de saumon en papillote, pavé de bœuf sauce au poivre, gambas poêlée sauce aïoli, entrecôte, magret de canard, etc… J’ai compté pas moins de 10 plats pour ce menu. Autant vous dire que j’ai quelques doutes sur le faite que tout soit cuisine maison. Mais bon passons…

J’ai opté pour un confit de canard accompagné de pommes de terre :

En dessert, c’était au choix : salade de fruits frais, crème brulée, Nougat glacé au coulis de framboise ou encore sorbet. J’ai pris la tarte tatin et sa crème fraiche.

Côté tarif, il y a deux menus au choix à 14,90 ou 19,90 euros. Sinon la pierrade ou la fondue à volonté commence à 23,90. A la carte, le prix des plats s’étale de 11,50 à 17 euros.

Est-ce que j’y retourne ? oui de temps en temps quand j’ai pas envie de faire la cuisine à la maison et que Picard est fermé :)

C’est où ?

La brouette

41 Rue Descartes

75005 Paris