Thai Richer

Posted in Un resto à Paris ?
on 6 novembre 2012

J’ai mis à profit le pont du 1er novembre pour utiliser un deal pris il y a quelques semaines sur Living social et aller manger thaï chez Thaï Richer. J’ai bon adorer la cuisine thaï, celui-là je ne le connaissais pas. Et pourtant, il est situé dans un quartier que je fréquente le plus à Paris, à deux pas des Galeries Lafayette et des Folies Bergères.

En entrée, j’ai pris une assiette d’assortiments de spécialités thaïlandaises.

En plat, j’ai choisi de poursuivre avec un sauté de boeuf

…accompagné de riz thaï sauté :

Je dois dire que c’est un peu bizarre de servir le riz à côté. Ça souligne combien il n’y a pas grand chose dans l’assiette. Mais bon je vous rassure au final la quantité était suffisante.

Et enfin en dessert, j’ai choisi des nems au chocolat :

Côté tarif, c’est plus que raisonnable. L’entrée oscille entre 8 et 9 euros. Il vous faudra cependant débourser 11 euros pour l’assiette que j’ai prise. Les plats vont de 14 à 16 euros et les dessert de 8 à 9 euros. Notez qu’il est aussi proposé des formules à des prix défiants toute concurrence : 13 euros pour un cocktail, une entrée et un plat par exemple.

Alors mon avis ? Eh bien si sur la devanture c’est écrit « cuisine gastronomique », moi je n’ai pas trouvé que cela l’était. Pire cela mélange la cuisine thaï avec des spécialités venues du reste de l’Asie. Que faisait en effet ce Bo Bun à la carte perdu entre un Phô et des Rouleaux Thaï croustillants au poulet ? Et puis c’est étrange quand même y a pas de Pad Thaï à la carte…

Au final je retiens pour son excellent rapport qualité/prix mais si je veux manger vraiment Thaï de chez thaï, je vais ailleurs :)

C’est ou ?

Thaï Richer

9 rue Richer

75009 Paris

Mon maquillage des yeux avec Kiko

Posted in Beauté
on 5 novembre 2012

Depuis que j’ai découvert l’autre fois les vernis KIKO, je suis retournée faire un tour dans leurs boutiques. J’ai regardé, j’ai fureté dans les coins, j’ai testé, je me suis emballée et j’ai fini par jeter mon dévolu et repartir avec une palette de quatre fards à paupières de la collection Lavish Oriental. Parmi les six quads proposés dans cette collection, j’ai choisi la numéro deux, Sensuous Burgundy.

J’ai été charmée par le packaging de ces palettes petits prix. Chaque palette est présentée dans un petit pochon en velours, j’adore. Deuxième petit plus, le petit miroir à l’intérieur qui permet de faire un retouche au cas où. Bon par contre, chez Kiko, ils ont pas pensé à mettre un applicateur.  C’est ballot, il va falloir penser à en prendre un si vous emmenez la palette avec vous.

Côté couleur, cette palette offre le choix entre quatre fards aux couleurs automnales : un prune, un doré, un rose mat et un brun. La pigmentation est bonne. Je pensais même au départ que le brun allait être trop foncé et difficile à porter au quotidien. Et bien non. J’ai testé un petit maquillage de toute la paupière mobile avec pour aller bosser et j’ai trouvé ça plutôt pas mal.

L’application est aussi facile grâce à leur texture crémeuse. Côté tenue, je trouve qu’ils se défendent bien. Je n’ai pas mis de base et pourtant mon fard n’a pas bougé et a tenu la journée. Dernière chose, j’ai les yeux fragiles et il m’arrive de ressentir des démangeaisons parfois quand je me maquille. Là rien du tout. Je n’ai pas ressenti le besoin de me frotter les yeux. Donc je pense que ces petits fards sont d’assez bonne qualité. Bref testé et approuve les fap KIKO :)

Ah oui encore une chose, si vous vouliez craquer à votre tour, son prix :) La palette est à 12,90 dans les boutiques ou sur le site de la marque. Voilà je crois que j’ai tout dit :)

Concours : 5×2 places à gagner pour Le Capital

Posted in Concours
on 1 novembre 2012

Aujourd’hui je vais vous gâter puisque Cinefriends m’a proposé (et j’ai accepté) de vous faire gagner 5 fois deux places pour le nouveau film de Costa-Gavras (un grand nom du cinéma) avec Gad Elmaleh, Le capital.

Adapté du roman éponyme de Stéphane Osmon, le film, qui sortira le 14 novembre, raconte la résistible ascension d’un valet de banque dans le monde féroce du Capital.

Allez tiens je vous mets la bande annonce :

Et maintenant pour gagner vos places, il va falloir travailler un peu :)  Vous allez en effet devoir chercher un peu pour répondre à la question suivante : citez-moi un film (hormis le capital) dans lequel Gad Elmaleh a joué.

Vous avez jusqu’au 18 novembre 2012 minuit. Je ferai un tirage au sort parmi toutes les bonnes réponses pour déterminer les 5 gagnant(e)s et annoncerai les résultats sur le blog et sur la fan page du blog le lendemain.

Bonne chance à tous :)

13, rue Thérèse de Elena Mauli Shapiro

Posted in Lecture
on 30 octobre 2012

J’ai terminé ce week-end 13, rue Thérèse d’Elena Mauli Shapiro et je viens vous en parler aujourd’hui. L’histoire débute alors que Trevor Stratton, universitaire américain vient de débarquer à Paris pour enseigner. Dans son bureau à la fac, il découvre une boite rempli de lettres et d’objet ayant appartenu à une femme, Louise Brunet qui vécut au début du XXème siècle.  Fasciné par ces lettres et ces objets au poing de perdre pied, Trevor se met à reconstituer progressivement l’histoire de Louise : son amour passionné pour son cousin mort à la guerre, son mariage avec un homme travaillant pour son père, son amitié avec une de ses élèves.

Mon avis ? j’ai été complètement séduite par ce roman qui oscille entre rêve et réalité. J’ai aimé l’idée tout d’abord que les vieux objets ont une histoire à raconter. L’histoire de Louise Brunet se raconte aussi bien à travers ses lettres que les objets qui sont parvenus à Trevor et ça c’est vraiment une idée intéressante. Des ciseaux racontent la mort de son frère et l’inceste avec son père; des gants racontent une première communion, une petite pièce du siècle précédent la naissance du fils tant attendu. Le deuxième point intéressant dans ce roman, et qui m’a énormément plu, c’est les lettres. Les lettres comme objets du passé propre à raconter une histoire, celle de Louise et de son cousin, Camille entre autre mais aussi les lettres que Trevor Stratton envoie à un destinataire inconnu au fur et à mesure de ses découvertes. J’ai adoré cette façon de raconter l’histoire. On est bien en face de ce que la critique appellerait un roman épistolaire. Je ne vous raconterai pas tout mais j’ai été à la fois surprise et enchantée quand la révélation de l’identité du Monsieur à qui Trevor écrit se fait. Enfin, le roman mêle aussi agréablement onirisme, fantastique et réalité. Finalement est-ce que Trevor rêve la vie de Louise ? Est-ce les objets qui la lui racontent ? Tout le long du roman, la frontière est bien mince entre le rêve et la réalité, entre le fantastique et le réalisme. Et ça aussi, ça m’a bien plu. Dernier point qui m’a rendu la lecture de ce roman plus qu’agréable, c’est la personnalité de Louise Brunet. Elena Mauli Shapiro nous dépeint une femme espiègle, féministe avant l’heure, qui s’ennuie dans son rôle d’épouse et n’hésite pas à l’occasion à blasphémer. Bref c’est un personnage tout à fait attachant que l’on quitte avec un peu de peine quand vient l’heure de tourner la dernière page.

Au final, je crois que je n’ai plu qu’à vous recommander ce roman et à remercier Livr@ddict et les éditions Michel Lafon pour cette jolie découverte. :)

La quatrième de couverture : Trevor, un professeur américain qui vient d’emménager à Paris, découvre dans son bureau une vieille boîte remplie de lettres d’amour, de photos jaunies, et de souvenirs : des gants, des pièces de monnaie, un mouchoir en dentelle… Tous racontent la vie de Louise Brunet, une Française ayant vécu au 13, rue Thérèse pendant la Grande Guerre.
L’universitaire commence à reconstituer l’histoire de la jeune femme : son amour indomptable pour son cousin mort au combat, son mariage de convenance avec un homme travaillant pour son père, et sa liaison avec un voisin. Mais alors que Trevor tombe peu à peu amoureux de la charmante et fougueuse Louise, une autre Française, bien vivante celle-là, compte bien le séduire et le garder près d’elle.
Le temps passe, la passion demeure.

Prochaine lecture : Une place à prendre de J.K Rowling