La Full Exposure de Smashbox, une jolie palette de neutres

Posted in Make up
on 8 mars 2014

J’ai encore craqué sur une palette de fards à paupières :) Cette fois c’est sur la Full Exposure de Smashbox que j’ai jeté mon dévolu. Pourtant ce n’était pas une évidence. Je connais pour ainsi dire pas la marque. Le seul produit que j’ai testé, la base de teint Photo Finish Unificateur de Teint Lumière m’a déçue. Et puis, ma salle de bain compte désormais plusieurs palettes de neutres (ou de nude comme il vous plaira de les appeler) que j’utilise très souvent. Parce que depuis la Naked Basics, j’ai lentement mais surement pris gout aux fards neutres. Du coup j’ai renforcé mes positions.

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Donc dans l’absolu, la nouvelle palette de Smashbox n’avait donc aucune raison de faire son apparition dans ma salle de bain. Sauf que, le cœur a ses raisons que la raison ignore. Et me voilà, l’heureuse propriétaire de la Full Exposure.

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Smashbox a donc réussi à me tenter avec la Full Exposure, une jolie palette de 14 fards mats ou irisés. Smashbox a mis du gris, du chocolat, du beige, du taupe dans sa palette. Des fards clairs ou foncés qui plairont j’en suis sure à un grand nombre mais surtout qui permettent de faire une multitude de maquillages. Moi, mon cœur a tout de suite balancé pour les fards irisés (ah!! les deux gris de la ligne du haut).

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La palette qui fermée me fait penser à un livre, possède aussi un large miroir. C’est toujours pratique. Et puis contrairement à ces censeurs du moment, elle est livrée avec un pinceau double embout de plutôt bonne qualité. En parlant du pinceau, un côté est réservé aux fards mats, l’autre aux fards pailletés. J’avais jamais eu de pinceau comme ça :)

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Je ne regrette pas d’avoir craqué sur cette palette. Les fards sont beaux, bien pigmentés et tiennent bien. J’ai trouvé aussi qu’ils se travaillaient facilement.

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J’ai bien aimé aussi le petit guide fourni avec la palette qui propose des types de maquillages à faire en fonction du type de son œil (en amande, rond, bridé, etc…)

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Bref, là Smashbox m’a conquise. Rien à redire j’adore :)

Son prix ? 47 euros chez Séphora (mais malheureusement déjà épuisé)

Thai Papaya

Posted in Un resto à Paris ?
on 7 mars 2014

Aujourd’hui, on va manger au restau. Ça faisait longtemps tiens! Non pas que je ne sois pas sortie au restaurant du tout, mais je suis principalement retournée dans mes adresses fétiches. Récemment, j’ai pourtant j’ai testé une nouvelle adresse dans le 13eme arrondissement non loin de la butte aux cailles. Je suis en effet allée manger chez Thai Papaya. Comme son nom l’indique, c’est un restaurant thaï :) Si vous me suivez, vous savez que c’est une de mes cuisines préférées.

Première chose : il faut le trouver celui-là. Ce petit restaurant est en effet planqué dans une rue discrète loin des rues passantes. Passez la porte. L’accueil est chaleureux, le service au petit soin.

A la carte, plein de choses appétissantes : des nems, des salades, des soupes, du poulet, des crevettes. Le truc qui m’a surpris cependant, c’est qu’il n’y ait pas de pad thai à la carte. Pas grave, ce jour-là, ce n’est pas ce que je souhaitais manger. En entrée, nous avons choisi avec ma comparse, une assiette de spécialités thaï. L’assiette comprenait deux brochettes, l’une de poulet, l’autre de bœuf chacune, des nems et une petite saucisse thaï épicée. Miam! Mis à part le nem aux légumes qui ne nous a pas convaincu car un peu fade à notre gout, nous nous sommes régalées.

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En plat, moi, j’ai choisi du poulet au basilic accompagné de riz thaï. Là encore rien à redire. C’est copieux et c’est bon.

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En dessert, je n’ai pas pris quelque chose de bien original puisque j’ai choisi du riz gluant accompagné de mangue fraiche. Pourtant ça ne m’a pas empêché de me régaler encore une fois. La preuve, je me suis jetée dessus tellement vite que j’en ai oublié de le prendre en photo :)

Côté prix, c’est raisonnable. Il faut savoir que les restaurants thaï ne sont en général pas donnés. Chez Thaï Papaya, c’est comme je le disais raisonnable. Hormis l’assortiment maison en entrée qui est à 18 euros pour deux et qui me parait cher, le reste est abordable. Le riz gluant en dessert est à 7 euros. Les plats tournent autour de 12-13 euros.

Bref, c’est une adresse à retenir. Moi j’y retournerai sans hésiter :)

C’est où ?

Thai Papaya

51 rue des cinq diamants

75013 Paris

Les joies du travail… entre filles d’Erika B.

Posted in Lecture
on 5 mars 2014

les joies du travail entre fillesJe viens de lire Les joies du travail… Entre filles de Erika B. En lisant la quatrième de couverture, j’avais été assez intriguée par ce petit bouquin (à peine une centaine de pages). Il faut dire qu’à l’instar de la narratrice, j’ai commencé ma carrière, il y a quinze ans dans un service constitué quasi-exclusivement de nanas. Et j’espère ne plus jamais revivre ça :) Mais revenons-en à ce livre, Les joies du travail… Entre filles. Erika B. a vingt-sis ans à l’époque de ce qu’elle nous raconte. Elle est montée à Paris pour suivre son conjoint. Arrivée dans la capitale sans travail, elle décroche un premier poste qui ne la satisfait pas puis un second en CDD. Elle nous raconte au fil des pages son intégration dans l’entreprise, ses relations avec ses collègues ou avec sa chef dont elle dresse le portrait sur plusieurs pages. Elle nous confie sa volonté de bien faire et d’être appréciée par tous.

Mon avis ? Ce livre j’aurai pu l’écrire. Du moins j’aurai pu écrire un récit sous ce titre c’est sur. Les conversations qui s’arrêtent sur ton passage, les nanas qui te cassent du sucre sur le dos, celles qui vont déblatérer sur ton compte parce que ton CDD a été prolongé mais pas celui de la bonne copine alors qu’elle, tu comprends, elle a 50 ans alors ce job elle l’a mérité. Tout ça, j’ai connu. Et pourtant je ne me suis pas retrouvée tant que ça dans le récit d’Erika. Pourquoi ? parce qu’Erika se pose sans cesse en victime, n’analyse pas, ronchonne tout le long au point qu’à un moment dans le livre ça m’a vraiment agacé. J’avais envie de lui crier stop; arrête ma cocote de te poser en victime et demande toi plutôt pourquoi tu es dans cette situation. Parce que tout le long Erika nous affirme qu’elle a tout fait pour le mieux. Au grand jamais la dame ne dit que peut-être elle y a un peu sa part de responsabilités. Malgré tout ce récit est agréable à lire même si c’est pas de la grande littérature. Le style de l’auteur est résolument tourné vers l’oral, comme une histoire que l’on raconte à une bonne copine. Ça aide à faire passer le reste. Mais ça reste pour moi une déception. A vous de voir maintenant si vous avez envie de le lire :)

La quatrième de couverture : Erika, provinciale fraîchement arrivée à Paris pour rejoindre son mari, doit chercher du travail pour la première fois. Enchaînant petit contrat sur petit contrait, elle rencontre une multitude de collègues différentes, pour la plupart étranges. Elle s’interroge alors sur la vie en entreprise – la communication, les relations hiérarchiques, la jalousie, l’hypocrisie…
Un parcours amusant et semé d’embûches où l’on découvre la complexité féminine dans le monde du travail. Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul(e)s…

Prochaine lecture : Latex etc. de Margaux Guyon

Un avion sans elle de Michel Bussi

Posted in Lecture
on 3 mars 2014

un avion sans elle michel bussiJe viens de terminer le roman de Michel Bussi, Un avion sans elle. Dire que j’ai aimé est un euphémisme. J’ai proprement adoré! la preuve, j’ai avalé les 500 pages du roman en à peine trois jours tellement j’ai eu du mal  à la lâcher celui-là! Qu’est-ce qui m’a autant captivé me direz-vous ? L’histoire est celle d’une jeune fille, Lylie contraction de ses deux prénoms présumés Lyse-Rose et Emilie. Lylie est en effet la seule survivante d’un crash aérien, elle avait trois mois lors de la catastrophe. Deux familles, l’une est riche, l’autre pauvre vont se déchirer pour récupérer l’enfant, chacune pensant qu’il s’agit de leur petite-fille. La petite est confiée à l’une d’elle, les Vitral. Pourtant les autres, les Carville continuent d’espérer et pendant dix-huit, ils vont payer un détective privé pour tenter de prouver qu’elle est de leur sang. Alors que Lylie s’apprête à fêter ses dix-huit ans, elle reçoit en cadeau le cahier résumant les 18 ans d’enquête du détective peu avant que ce dernier ne meurt assassiné. Lylie remet après l’avoir lu le cahier à celui qu’elle a toujours considéré comme son frère, Marc et disparait. A partir de ce moment, ce dernier n’aura de cesse de découvrir qui est vraiment Lylie et de découvrir qui accumule les meurtres autour de la jeune fille.

Mon avis ? je l’ai dit dès le départ : j’ai adoré! D’ailleurs je l’ai lu très vite ayant beaucoup de mal à le lâcher. En quoi, allez, trois jours, je l’ai eu fini. C’est dire si ce roman a su me captiver! Le style est très agréable et l’auteur réussit le tour de force de maintenir le suspense jusqu’au bout. Même si au final, tout n’est pas vraiment une surprise. J’avais deviné depuis plus d’une centaine de pages certaines choses (je n’en dirai pas plus pour ceux qui ne l’ont pas lu). Remarquez, je dis ça mais cela n’empêche que c’etait à mon avis la meilleure façon de faire s’il voulait rester cohérent et surtout rendre son histoire plausible jusqu’au bout. Bref pour moi, c’est un excellent roman. Je ne connaissais pas l’auteur mais je crois bien que maintenant je n’ai pas le choix : il va falloir que je jette un œil à sa bibliographie et pourquoi pas me plonger très vite dans ses autres romans comme Nymphéas noirs :)

La quatrième de couverture : Lyse-Rose ou Émilie ? Quelle est l’identité de l’unique rescapé d’un crash d’avion, un bébé de 3 mois ? Deux familles, l’une riche, l’autre pas, se déchirent pour que leur soit reconnue la paternité de celle que les média ont baptisée Libellule. Dix-huit ans plus tard, un détective privé prétend avoir découvert le fin mot de l’histoire, avant d’être assassiné, laissant derrière lui un cahier contenant tous les détails de son enquête.
Du quartier parisien de la Butte-aux-Cailles jusqu’à Dieppe, du Val-de-Marne aux pentes jurassiennes du mont Terrible, le lecteur est entraîné dans une course haletante jusqu’à ce que les masquent tombent……

Prochaine lecture : La mécanique du cœur