En direct de ma salle de bain #16

Posted in Beauté
on 10 mars 2014

Ça fait un petit moment que je ne vous ai pas montré mes derniers achats beauté par ici. Il faut dire que je me refrène et ne cède pas à toutes mes envies. De un, mes placards de salle de bain sont pleins à craquer; de deux, le budget à consacrer à mes petits plaisirs s’est considérablement réduit ces derniers mois. Toutefois pour éviter un craquage de slip en règle et des remords ad vitam eternam, je me fais plaisir avec de petites (ou plus grosses) choses régulièrement. Il y a donc eu du neuf malgré tout puisque si vous suivez, je vous ai montré la palette Full Exposure de Smashbox il y a peu de temps mais pas que.

Voici donc un petit bilan de mes achats beauté de ces derniers temps :

vernis kiko soldes

  • une petite commande chez Bourjois quand il y a eu moins 50% pour cinq articles achetés sur l’eshop et j’ai pris un joli RAL rose. C’est mon premier rouge à lèvres Bourjois je crois bien.

ral bourjois

  • j’ai aussi craqué sur une ombre à paupières Color Edition 24h

bourjois color edition 24h

  • et j’ai racheté ma poudre bien sûr. Elle est top. Je l’utilise pour fixer mon maquillage et matifier mon teint.

poudre libre bourjois

  • j’ai également eu le shampoing sec Batiste avec le magazine Closer. Je n’ai jamais utilisé de shampoing sec auparavant. Je me suis dit que c’etait l’occasion de voir si ça valait le coup d’en avoir un en secours à la maison ou dans le sac.

shampooing sec batiste

  • Autre bon plan magazine : un soin Essie était offert avec le magazine Votre beauté. J’ai pris le bleu Smooth trick autrement dit en français dans le texte c’est de l’huile pour les cuticules parfumée à la menthe. Je n’ai jamais testé les soins Essie. Les vernis, les bases et les Top Coat oui, les soins jamais. On va voir ce que cela donne.

essie soin bleu

  • et le vert, Disappearing trick

essie soin vert

  • Chez L’occitane sur simple visite en boutique, je me suis vu offrir un petit pochon renfermant 3 crèmes pour les mains.

creme main l'occitane

  • enfin, je me suis achetée sur Amazon trois nouveaux rouges à lèvres L’oréal, deux de la collection Star Secrets, le magnifique rouge de Pénélope Cruz et le rose de Laetitia Casta; le troisième c’est le color riche 266. Depuis que je me les suis offerts, tous les matins maintenant, j’hésite à savoir le lequel je vais mettre :)

ral l'oreal

Et vous, quoi de neuf dans la salle de bain ?

La Full Exposure de Smashbox, une jolie palette de neutres

Posted in Make up
on 8 mars 2014

J’ai encore craqué sur une palette de fards à paupières :) Cette fois c’est sur la Full Exposure de Smashbox que j’ai jeté mon dévolu. Pourtant ce n’était pas une évidence. Je connais pour ainsi dire pas la marque. Le seul produit que j’ai testé, la base de teint Photo Finish Unificateur de Teint Lumière m’a déçue. Et puis, ma salle de bain compte désormais plusieurs palettes de neutres (ou de nude comme il vous plaira de les appeler) que j’utilise très souvent. Parce que depuis la Naked Basics, j’ai lentement mais surement pris gout aux fards neutres. Du coup j’ai renforcé mes positions.

fullexposure smashbox (6)

Donc dans l’absolu, la nouvelle palette de Smashbox n’avait donc aucune raison de faire son apparition dans ma salle de bain. Sauf que, le cœur a ses raisons que la raison ignore. Et me voilà, l’heureuse propriétaire de la Full Exposure.

fullexposure smashbox (8)

Smashbox a donc réussi à me tenter avec la Full Exposure, une jolie palette de 14 fards mats ou irisés. Smashbox a mis du gris, du chocolat, du beige, du taupe dans sa palette. Des fards clairs ou foncés qui plairont j’en suis sure à un grand nombre mais surtout qui permettent de faire une multitude de maquillages. Moi, mon cœur a tout de suite balancé pour les fards irisés (ah!! les deux gris de la ligne du haut).

fullexposure smashbox (5)

La palette qui fermée me fait penser à un livre, possède aussi un large miroir. C’est toujours pratique. Et puis contrairement à ces censeurs du moment, elle est livrée avec un pinceau double embout de plutôt bonne qualité. En parlant du pinceau, un côté est réservé aux fards mats, l’autre aux fards pailletés. J’avais jamais eu de pinceau comme ça :)

fullexposure smashbox (1)

Je ne regrette pas d’avoir craqué sur cette palette. Les fards sont beaux, bien pigmentés et tiennent bien. J’ai trouvé aussi qu’ils se travaillaient facilement.

fullexposure smashbox (4)

J’ai bien aimé aussi le petit guide fourni avec la palette qui propose des types de maquillages à faire en fonction du type de son œil (en amande, rond, bridé, etc…)

fullexposure smashbox (2)

Bref, là Smashbox m’a conquise. Rien à redire j’adore :)

Son prix ? 47 euros chez Séphora (mais malheureusement déjà épuisé)

Thai Papaya

Posted in Un resto à Paris ?
on 7 mars 2014

Aujourd’hui, on va manger au restau. Ça faisait longtemps tiens! Non pas que je ne sois pas sortie au restaurant du tout, mais je suis principalement retournée dans mes adresses fétiches. Récemment, j’ai pourtant j’ai testé une nouvelle adresse dans le 13eme arrondissement non loin de la butte aux cailles. Je suis en effet allée manger chez Thai Papaya. Comme son nom l’indique, c’est un restaurant thaï :) Si vous me suivez, vous savez que c’est une de mes cuisines préférées.

Première chose : il faut le trouver celui-là. Ce petit restaurant est en effet planqué dans une rue discrète loin des rues passantes. Passez la porte. L’accueil est chaleureux, le service au petit soin.

A la carte, plein de choses appétissantes : des nems, des salades, des soupes, du poulet, des crevettes. Le truc qui m’a surpris cependant, c’est qu’il n’y ait pas de pad thai à la carte. Pas grave, ce jour-là, ce n’est pas ce que je souhaitais manger. En entrée, nous avons choisi avec ma comparse, une assiette de spécialités thaï. L’assiette comprenait deux brochettes, l’une de poulet, l’autre de bœuf chacune, des nems et une petite saucisse thaï épicée. Miam! Mis à part le nem aux légumes qui ne nous a pas convaincu car un peu fade à notre gout, nous nous sommes régalées.

thai papaya (1)

En plat, moi, j’ai choisi du poulet au basilic accompagné de riz thaï. Là encore rien à redire. C’est copieux et c’est bon.

thai papaya (2)

En dessert, je n’ai pas pris quelque chose de bien original puisque j’ai choisi du riz gluant accompagné de mangue fraiche. Pourtant ça ne m’a pas empêché de me régaler encore une fois. La preuve, je me suis jetée dessus tellement vite que j’en ai oublié de le prendre en photo :)

Côté prix, c’est raisonnable. Il faut savoir que les restaurants thaï ne sont en général pas donnés. Chez Thaï Papaya, c’est comme je le disais raisonnable. Hormis l’assortiment maison en entrée qui est à 18 euros pour deux et qui me parait cher, le reste est abordable. Le riz gluant en dessert est à 7 euros. Les plats tournent autour de 12-13 euros.

Bref, c’est une adresse à retenir. Moi j’y retournerai sans hésiter :)

C’est où ?

Thai Papaya

51 rue des cinq diamants

75013 Paris

Les joies du travail… entre filles d’Erika B.

Posted in Lecture
on 5 mars 2014

les joies du travail entre fillesJe viens de lire Les joies du travail… Entre filles de Erika B. En lisant la quatrième de couverture, j’avais été assez intriguée par ce petit bouquin (à peine une centaine de pages). Il faut dire qu’à l’instar de la narratrice, j’ai commencé ma carrière, il y a quinze ans dans un service constitué quasi-exclusivement de nanas. Et j’espère ne plus jamais revivre ça :) Mais revenons-en à ce livre, Les joies du travail… Entre filles. Erika B. a vingt-sis ans à l’époque de ce qu’elle nous raconte. Elle est montée à Paris pour suivre son conjoint. Arrivée dans la capitale sans travail, elle décroche un premier poste qui ne la satisfait pas puis un second en CDD. Elle nous raconte au fil des pages son intégration dans l’entreprise, ses relations avec ses collègues ou avec sa chef dont elle dresse le portrait sur plusieurs pages. Elle nous confie sa volonté de bien faire et d’être appréciée par tous.

Mon avis ? Ce livre j’aurai pu l’écrire. Du moins j’aurai pu écrire un récit sous ce titre c’est sur. Les conversations qui s’arrêtent sur ton passage, les nanas qui te cassent du sucre sur le dos, celles qui vont déblatérer sur ton compte parce que ton CDD a été prolongé mais pas celui de la bonne copine alors qu’elle, tu comprends, elle a 50 ans alors ce job elle l’a mérité. Tout ça, j’ai connu. Et pourtant je ne me suis pas retrouvée tant que ça dans le récit d’Erika. Pourquoi ? parce qu’Erika se pose sans cesse en victime, n’analyse pas, ronchonne tout le long au point qu’à un moment dans le livre ça m’a vraiment agacé. J’avais envie de lui crier stop; arrête ma cocote de te poser en victime et demande toi plutôt pourquoi tu es dans cette situation. Parce que tout le long Erika nous affirme qu’elle a tout fait pour le mieux. Au grand jamais la dame ne dit que peut-être elle y a un peu sa part de responsabilités. Malgré tout ce récit est agréable à lire même si c’est pas de la grande littérature. Le style de l’auteur est résolument tourné vers l’oral, comme une histoire que l’on raconte à une bonne copine. Ça aide à faire passer le reste. Mais ça reste pour moi une déception. A vous de voir maintenant si vous avez envie de le lire :)

La quatrième de couverture : Erika, provinciale fraîchement arrivée à Paris pour rejoindre son mari, doit chercher du travail pour la première fois. Enchaînant petit contrat sur petit contrait, elle rencontre une multitude de collègues différentes, pour la plupart étranges. Elle s’interroge alors sur la vie en entreprise – la communication, les relations hiérarchiques, la jalousie, l’hypocrisie…
Un parcours amusant et semé d’embûches où l’on découvre la complexité féminine dans le monde du travail. Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul(e)s…

Prochaine lecture : Latex etc. de Margaux Guyon