Rebel Romantic, la nouvelle collection de Kiko

Posted in Make up
on 20 août 2015

J’avais un peu délaissé Kiko ces derniers temps. J’avais en effet été déçue de la qualité de certains produits. J’avais trouvé aussi que les prix avaient monté en flèche. Qualité moindre + prix qui montent = désaffection. CQFD.

Et puis Kiko a sorti sa nouvelle collection : Rebel Romantic.Et puis je suis passée en magasin pour regarder.La collection est très complète. Il y a un bronzer, un blush, six rouges à lèvres, des ombres à paupières crèmes, des crayons contours des lèvres, un eyeliner, une base à paupières, un miroir de poche, une trousse, etc… Y a vraiment tout, y a pas à dire!

rebel romantic kiko

J’ai craqué et je suis repartie avec deux des six rouges à lèvres de cette collection en édition limitée. J’ai flashé en effet pour le 03 Luscious Red et le 04 Mild Sangria.

Kiko 03 Luscious Red et le 04 Mild Sangria

On pourrait croire, à les voir comme ça, qu’ils sont très proches. Mais non. L’un tire sur le framboise, l’autre sur le rouge. La preuve :

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J’avoue avoir un petit faible pour Mild Sangria et porter celui-ci quotidiennement en ce moment. J’ai été agréablement surprise à la première application. le raisin glisse facilement sur les lèvres. C’est un plaisir. Côté tenue aussi ça va. Il tient plutôt bien. Bon la contrepartie est qu’il assèche un peu les lèvres (mais pas trop non plus). Bref, je l’adore ce petit :)

Kiko RAL Mild Sangria

Seul bémol, le packaging. Il est tout beau dans son emballage doré. Oui mais après quelques jours dans le sac, les inscriptions s’effacent et il est tout rayé. Ça, c’est vraiment dommage. Après on ne va pas pleurer non plus. Pour 6,90 euros, on ne peut pas tout avoir! Et là c’est plutôt pas mal, je le dis et le répète.

Kiko 03 Luscious Red et le 04 Mild Sangria

Donc on l’aura compris, je suis conquise par ces deux rouges à lèvres. Maintenant je me dis que je devrais peut-être prendre les deux crayons qui vont avec. Mais le problème c’est que le blush me fait de l’œil. Donc si je passe en boutique, je ne réponds de rien, lol :)

Kiko RAL Mild Sangria

Et vous conquise par cette nouvelle collection ? Vous avez déjà craqué ?

Le grand Taksim

Posted in Un restau en banlieue ?
on 18 août 2015

Ça fait un bail que je ne suis pas venue ici une bonne adresse de restaurant!! Dieu merci, j’ai une nouvelle adresse à partager mais attention, amis parisiens, il va falloir passer le périph’ pour venir à… Colombes, manger turc. J’ai en effet testé une nouvelle adresse de restaurant turc à deux pas de la gare de Colombes il y a peu : le Grand Taksim. Et ma foi, mes papilles en sont ressorties ravies.

 le grand taksim

Le choix a été dur mais finalement on a choisi pour commencer de prendre un assortiment de spécialités et de partager. Il y avait une feuille de vigne, du tarama, du caviar de tomates épicées, feta, etc… Rien que des bonnes choses. C’était bien servi et on a eu assez pour deux.

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En plat, j’ai choisi un Alti Ezmeli c’est à dire de la viande Kebab sur un lit de tomates épicées. Le tout était servi avec du blé. Ma foi, c’était drôlement bon.

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En dessert, j’aurai voulu des loukoums. Mais y en avait plus. Comme ils sont directement importés de Turquie, il faudrait attendre la prochaine commande. Dommage. Bon je me suis consolée avec un autre gateau qui ma foi, m’a très vite fait oublier les loukoums :)

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Côté tarifs, ça reste raisonnable. Les entrées tournent autour de 5 euros. Comptez 5 euros par exemple pour le Sucuk (le saucisson turc) et 4.50 pour la salade bergère. Les plats, quant à eux, sont en moyenne à 12-13 euros.  Le plat que j’ai choisi ce jour-là coute par exemple 13 euros. Le kebab original lui est à 9,50.

Bref, le grand Taksin est une bonne adresse pour manger turc. J’ y retournerais sans hésiter.

C’est où ?

Le grand Taksim
14 Avenue de l’Agent Sarre
92700 Colombes

80 notes de jaune de Vina Jackson

Posted in Lecture
on 17 août 2015

80 notes de jaune Vina JacksonDébut juillet, j’ai lu 80 notes de jaune de Vina Jackson. Si vous vous souvenez bien, je vous en avais parlé brièvement quand je vous avais fait une petite sélection de romans érotiques pour l’été. Summer jeune violoniste sans le sou joue parfois dans le métro pour arrondir ses fins de mois. Un jour, Dominik professeur d’université entend l’interprétation des quatre saisons de Vivaldi par la violoniste. Fasciné, il ne rêve que de la revoir. Le destin s’en mêle quand Summer est prise dans une rixe ente supporters dans le métro et son violon détruit. Dominik lui propose de lui en offrir un en échange d’un concert un peu particulier. D’abord réticente, Summer qui découvre en même temps le monde du sado-masochisme grâce à Charlotte, l’une de ses amies finit par accepter. Débute alors entre Dominik et Summer une étrange relation.

Mon avis ? Et bien de tous les romans érotiques que j’ai lu jusque là, 80 notes de jaunes de Vina Jackson (pseudo de deux auteurs contrairement à ce que l’on pourrait penser) est un des meilleurs.  Et oui à part La trilogie italienne, les autres m’ont un peu déçu au final. Là non. Je n’ai pas été déçue. Peut-être parce qu’il s’agit d’un roman érotique et pas simplement d’une romance érotique. La relation entre Dominik et Summer est perverse à souhait mais l’héroïne est loin d’être fleur bleue comme Anastasia Steele (50 nuances) ou traumatisée comme Eva (La trilogie Crossfire). Les deux personnages assument leur perversion. Summer est attirée par le sado-masochisme et ne se prive pas pour se livrer à ses penchants. Elle se cherche, elle teste, elle va jusqu’au bout de ses penchants. Dominik est un pervers, sa sexualité est dévoyée et il prend son pied dans des pratiques boderline. Ok mais tout ça est très réaliste. L’écriture de l’ensemble est agréable. Bref une bonne lecture. Je lirai les tomes suivants, c’est sur.

La quatrième de couverture : Prisonnière d’une relation en demi-teinte, Summer, violoniste passionnée, trouve refuge dans la musique. Elle passe ses après-midi à jouer Vivaldi dans le métro londonien. Un jour, son instrument est détruit et elle reçoit un message d’un admirateur secret. Dominik, séduisant professeur d’université, se propose de lui offrir un violon en échange d’un concert… très privé. Dominik et Summer se jettent alors à corps perdu dans une liaison sulfureuse aussi imprévisible qu’excitante. La jolie violoniste laisse libre cours à des pulsions interdites et s’abandonne enfin à la passion. Elle va bientôt découvrir qu’il n’y a pas de plaisir sans souffrance…

Prochaine lecture : Un mariage d’amour de Françoise Bourdin

Alyah de Éliette Abécassis

Posted in Lecture
on 16 août 2015

Il y a un petit bout de temps j’ai reçu et lu le nouveau livre de Eliette Abécassis, Alyah : la tentation du départ. Dans ce roman (mais est ce vraiment un roman ?), on retrouve Esther Vidal, l’héroïne de Sépharade. La jeune femme, prof de français dans un lycée en zep, divorcée, mère de deux enfants, nous raconte son quotidien de juive en France. Elle évoque les événements de Charlie Hebdo, la tuerie de l’école juive de Toulouse, celle plus récente de l’Hyper casher de Vincennes. Elle évoque sa peur au quotidien. Elle parle de ses amis et notamment de sa copine Gabrielle, qui quitte la France pour s’installer en Israël et faire leur Alyah.

Eliette Abécassis Alyah

J’ai mis du temps à en parler car ce bouquin m’a laissé perplexe. Ce n’est pas vraiment un roman, je trouve. C’est un témoignage sur le quotidien d’une jeune femme juive. Mais en même temps Esther Vidal est un personnage de fiction. Elle n’est pas l’auteur. Elle n’est pas Eliette Abécassis. Même si de prime abord on pourrait le penser vu qu’elle s’exprime à la première personne et qu’elle évoque des évènements récents que l’on connait tous. Et c’est sans doute, cette frontière très tenue entre la fiction et la réalité qui m’a laissé dubitative. Comment doit-on lire Alyah ? Comme un roman ? Alors il n’y a pas d’histoire et ça coince. Comme un essai ? Dans ce cas, l’histoire d’amour avec Julien est de trop (D’ailleurs pour être tout à fait franche, ces passages m’ont ennuyé). Ce manque de parti pris de l’auteur ne m’a pas plu. Je n’ai pas trouvé les clés pour lire ce livre et l’apprécier. Alors oui, c’est vrai, dans l’ensemble, ça se lit bien, c’est bien écrit. Il y a aussi une certaine émotion dans tout ça. Mais ça ne suffit pas. Malgré tout au final, j’ai trouvé ça très bof. Je m’attendais à quelque chose d’autre et j’ai été déçue. Tant pis.

La quatrième de couverture : « Il y a quelques années, je sortais dans la rue avec une étoile de David autour du cou. J’étais fière de m’appeler Esther Vidal et je ne baissais pas la voix pour dire mon nom. Nous n’étions pas en danger dans la ville. Ni agressés à la sortie de l’école, de la synagogue, ou chez soi. Traiter quelqu’un de “sale juif” était un tabou. Je ne pensais pas qu’il pût y avoir dans Paris des manifestations contre les juifs. A vrai dire, je n’aurais même pas imaginé que l’on puisse entendre, lors d’une manifestation, « A mort les juifs ». » L’histoire d’une femme, le destin d’un peuple : sur fond d’antisémitisme et de retour de la haine, le nouveau roman d’Éliette Abécassis se présente comme une double histoire d’amour. Celle d’Esther avec la France. Celle d’Esther avec Julien, qui est écrivain. A travers une épopée personnelle et collective, qui la mènera sur le chemin de l’histoire de sa famille en France, la narratrice se pose la douloureuse question de devoir quitter son pays. Un roman choc sur le syndrome d’une société qui sombre dans la barbarie.

Prochaine lecture : 80 notes de jaunes de Vina Jackson.