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novembre 2013

For the Twill of It d’Essie

Posted in Vernis
on 24 novembre 2013

Après Vested Interest. la semaine dernière, aujourd’hui je porte For the Twill of It d’Essie, le joli vernis aux couleurs changeantes qui a donné son nom à la collection d’automne.

For the twill of it (1)

Il est magnifique. J’adore le fait que les reflets changent selon comment il est exposé à la lumière. Un coup vert, un coup violet, un coup gris.

For the twill of it (5)

For the twill of it (12)

For the twill of it (10)

For the twill of it (8)

For the twill of it (7)

Ce qui est dommage c’est qu’il soit si difficile à prendre en photo :)

Et vous, vous le trouvez comment ce vernis ?

Good to Go d’Essie, le top coat qui sèche trop vite

Posted in Vernis
on 23 novembre 2013

Longtemps, j’ai utilisé comme top coat pour mes manucures un top coat L’oréal. Et puis lors des 3J aux Galeries Lafayette et à la faveur d’une promo de ouf, j’ai fait le plein de base et top coat de chez Essie. Il faut dire que mon top coat était bien usé et qu’il était de plus en plus dur de prélever de la matière. J’ai donc jeté mon dévolu entre autre sur le Good to Go d’Essie.

go to go Essie (3)

J’en avais beaucoup entendu parlé (et pas qu’en bien). J’avais vu qu’il séchait vite… dans le flacon, qu’il devenait pâteux au bout de quelques mois d’utilisation. Bref pas le top si on en croit toutes ces filles. Malgré tout j’ai voulu me faire ma propre opinion (je suis comme Saint Thomas, je ne crois que ce que je vois).

go to go Essie (4)

Au début, ce top coat c’est que du bonheur. Non vraiment. Il sèche vite et fait sécher le vernis rapidement (du moins pour la couche supérieure). Il donne un joli fini brillant. Bref il est top, ce top-coat.

Mais ça, c’est au début. Au bout de quelques semaines, il est pâteux. Il n’est plus possible de l’étaler. Et le pire, il ruine la manucure que l’on vient de se faire et que l’on croyait protéger pour la garder plus longtemps.

go to go Essie (1)

J’ai utilisé la moitié du flacon et je peux le jeter il est plus bon à rien!! Alors oui, je sais que c’est le gros défaut des top coat sèche vite mais quand même c’est la grosse déception! Surtout pour le prix. Donc les filles, petit conseil, n’achetez pas ce top coat!!

Du coup moi, je suis revenue à mon bon vieux topcoat classique (pas sèche vite) et ça va nettement mieux :)

Digital Emotion, la nouvelle collection de Kiko pour les fêtes

Posted in Beauté
on 21 novembre 2013

Je suis passée l’autre jour chez Kiko jeter un œil à la nouvelle collection, Digital Emotion qui vient tout juste de sortir. Cette collection sortie pour les fêtes de fin d’années comprend pas mal de choses. Il y a : 1 palette de 16 fards, 1 palette visage must have, 4 palettes de trois fards à paupières, 1 set de fards à paupières en stick, 1 set crayons pour les yeux, 1 spray corps et visage, 1 Set Rouge à lèvres ultra-brillant, des crayons à lèvre disponible en 6 teintes, Top coat Mascara, 1 Illuminateur pour les yeux, 1 set de vernis effet sablé (les fameux Sugar mat), 1 set de vernis fini satin, 6 vernis pailletés et un set de 6 pinceaux.

J’ai acheté quelques petites choses mais pas des masses non plus. Et si je dois reprendre des choses, j’attendrai maintenant les soldes. Pourquoi ? Parce que Kiko a je trouve, fortement augmenté le prix de ses palettes. Les trio sont par exemple vendu 13,90 euros. La palette visage est à 34, 90. Le set de pinceaux quant à lui est à 39,90. Gloups!!!

kiko digital emotion noel 2013 (3)

Après est ce que j’ai réellement aimé cette collection ? et bien non. Le packaging blanc des palettes fait cheap. En plus c’est du plastique et non du métal comme on avait eu pour certaines palettes. Deuxièmement, la palette 16 fards n’a rien de bien original. J’ai personnellement eu l’impression que seul le packaging changeait. Troisième et dernier point, je n’aime pas l’idée de vendre tout un tas de trucs en coffrets. Les vernis Sugar mat par exemple. J’aurai bien craqué sur quelques-unes des nouvelles teintes proposées mais pas sur l’ensemble. Du coup j’ai pas pris. Pareil pour le set de vernis satin.

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Du coup, j’ai pris quoi ? et bien en bonne nailpolish addict, j’ai craqué sur les vernis vendus à l’unité (enfin pas tous). Ils sont au nombre de six et sont vendus comme chaque fois les éditions limitées 4,90 euros. On a : Intuitive pink (437), Fascinating burgundy (438), Cyber red (439), Electron blue (440), Illusion green (441), Techno black (442).

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J’ai pris Intuitive pink, le rose pale à paillettes, Fascinating burgundy, le rose fushia et Techno Black, le noir. Après, je crois qu’il n’y aurait que Cyber red, le rouge qui pourrait encore me faire envie. Mais on attendra les soldes :)

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Du rapide petit test que j’ai fait, il me semble très jolis ces petits vernis. Ils sont super pailletés. Par contre, il faut trois couches pour avoir une bonne opacité.

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En plus des vernis, j’ai pris deux trio de fards à paupières malgré leur prix outrageusement élevé. Déclinée en quatre versions, j’ai craqué sur Utopia Wine, l’harmonie de bordeaux et Revolutionary Blue, l’harmonie de bleu. Sur le coup j’ai trouvé que ça ressemblait un peu aux trio Bonbon de Laura Mercier (mais en nettement plus cheap, hein!).

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Côté pigmentation, j’ai trouvé aussi que c’était moins bien que d’habitude. Il faudra voir si en travaillant les fards mouillés, ça gagne vraiment en intensité.

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Et vous, vous la trouvez comment cette nouvelle collection ? vous allez craquer ?

Le bel otage de Zayd Muti’Dammaj

Posted in Lecture
on 19 novembre 2013

bel-otageJ’ai reçu dans le cadre d’une opération masse critique sur Babelio, Le bel otage de Zayd Muti’Dammaj. L’histoire de ce petit roman est celle d’une jeune garçon de douze ans. Fils d’un opposant au régime de l’imam-roi de Sanaa dans les années 40, il est enlevé et sert d’otage. Durant sa captivité, il va devenir Duwaydar au palais du gouverneur. Totalement ignorant de ce qui se cache derrière cette fonction, il en fait l’apprentissage auprès du beau duwaydar en titre. Bien vite, il découvre ainsi que sa tache est de satisfaire aux désirs des femmes du palais en évitant tout scandale. Rapidement, il est remarqué par la belle Sharifa Hafasa, la sœur du gouverneur. Très vite, le narrateur est affecté à la demeure de cette femme dont il tombe vite amoureux. Le jeune homme se retrouve alors tiraillé entre son désir pour cette femme hautaine et son envie de rébellion.

Mon avis ? A vrai dire, je ne sais pas qu’en penser. C’est le premier roman yéménite que je lis. Et puis je dois reconnaitre que je connais aussi mal l’histoire de ce pays. Du coup, c’est plus difficile d’apprécier le roman à sa juste valeur. Il est décrit comme un chef d’œuvre de la littérature yéménite. Certes. Mais moi je n’y ai vu qu’un conte oriental à la manière des contes des milles et une nuits. J’ai bien été incapable d’en saisir l’enjeu politique qui se cache derrière même si j’ai bien compris qu’à travers ce roman, l’auteur dénonçait l’oppression que l’imam faisait régner alors sur le pays. J’en suis donc rester à une lecture plus littérale. Et pour moi, ce roman est une histoire d’amour impossible entre un jeune paysan et une belle princesse. Ceci dit, la lecture de ce conte est très agréable même si j’ai eu l’impression que des fois la traduction ne rendait pas exactement le texte d’origine. Bref ça a été quand même pour moi une jolie découverte (que je n’aurai peut-être pas faite sans l’opération masse critique à vrai dire).

La quatrième de couverture : Le jeune narrateur a douze ans lorsqu’il est enlevé à sa famille pour servir comme duwaydar au palais du gouverneur. Mais qu’est-ce qu’un duwaydar ? Sa question fait sourire.
C’est en partageant la chambre de son ami, le « beau duwaydar » qu’il va peu à peu comprendre ; la nuit, les femmes du palais viennent le rejoindre et l’étreindre. Alors, quand la très belle sœur du gouverneur le réclame à son tour, le jeune otage sent gronder en lui deux forces antagonistes, le désir et la rébellion.
Ce roman, unique dans la littérature yéménite et célèbre dans tout le monde arabe, n’est pas seulement un roman d’amour et d’amitié, c’est aussi une initiation au désir, un plaidoyer pour la liberté, un roman social et politique sur l’oppression du régime de l’imamat dans les années 1940.

Prochaine lecture : Danse noire de Nancy Huston