Le CloudMobile d’Acer, c’est trop bien :)

Posted in Geekeries, J'ai testé pour vous (ou pas)
on 6 décembre 2012

Si vous suivez mes pérégrinations sur twitter, vous avez du voir qu’il y a quelques semaines j’ai été invité par Acer à passer une soirée dans un loft relooké par la marque. Au programme, ce soir là, une présentation du dernier smartphone d’Acer, le CloudMobile, des parties de jeux vidéos et des cadeaux.

Première chose, c’est une belle bête et je ne dis pas ça uniquement parce que j’ai eu la chance incommensurable de partir avec ce soir là. Je le pense vraiment (et je ne suis pas la seule puisque la vérité vraie c’est que je ne l’ai pas gardé longtemps tellement il a plu à ma maman. Du coup cet article, c’est un peu notre ressentis à toutes les deux)

Le premier truc qui nous a séduite avec le CloudMobile d’Acer c’est son grand écran. Il est plus grand que celui de L’Iphone et offre un bon confort pour surfer sur le web. En plus il est léger et tout fin.

Le deuxième truc qui nous a plu (enfin moi surtout), c’est l’appareil photo et ses filtres à la mode d’istagram. Ça, ça a été mon gros kiffe dès que je l’ai eu en main (Maman, elle, a trouvé que l’autonomie est un point plus important. pfff!!!!). J’ai trouvé qu’il faisait de bonnes photos l’animal. Il faut dire que le CloudMobile dispose quand même d’un appareil photo de 8 millions de pixels.

Après la navigation est plutôt facile avec ce mobile. On hésite quelques secondes au début car les boutons physiques sont absents de ce smartphone et sont remplacés par trois boutons virtuels en bas de l’écran. Si on est habitué de l’Iphone comme moi, on cherche le bouton home désespérément pendant quelques minutes et puis on s’y fait.

Alors est-ce qu’on y a trouve des points faibles ? oui deux, enfin un et demi :) Le premier, le plus grave à notre avis, c’est la radio. Oui la radio ne fonctionne pas sans le casque. Non mais oh, c’est quoi ce bazar ? Ça c’est pour le demi. Le point qui m’a fait un peu tiquer, c’est l’autonomie. Quand tu surfes beaucoup (faut pas croire, ma mère c’est une geek, elle maitrise Google et sait installer des applis depuis l’Android Market), c’est un peu juste.

Mis à part ça (et blague à part), nous on a trouve que le CloudMobile était vraiment un bon smartphone et a un prix vraiment intéressant puisqu’il coute 349 euros.

Ma jolie palette Shadow BonBons by Too Faced

Posted in Make up
on 4 décembre 2012

En ce moment, je suis un peu obnubilée par les produits de beauté et le maquillage. J’ai donc investit dans quelques produits dont des palettes de make-up. La dernière en date, c’est la Shadow BonBons de Too Faced. Et oui moi, j’ai pas (encore) craqué sur la Vice palette d’Urban Decay mais sur l’édition de Noël d’une marque plus confidentielle.

La Shadow bon Bons de Too Faced compte douze fards à paupières mats ou pailletés, un mascara full size et un petit tube de base shadow insurance en teinte candelight.

On trouve la gamme de fards à paupière suivante (dans l’ordre sur la photo ci-dessous) :

  • Vanilla –  beige vanille matte
  • Cut the Cake – lavande au fini irisé
  • Framboise – lilas pailleté foncé
  • Coffee Bean  – chocolat matte
  • Peach Fuzz  – pêche très clair pailleté
  • Hot Cocoa  – brun moyen avec des nuances champagnes orangées
  • Candy Rose  – rose pâle pailleté
  • Lovely Dovey  – brun avec des nuances cuivrées
  • Nude Beach – beige doré avec micro paillettes
  • Cinnamon Sugar – doré tirant vers le bronze au fini métallique
  • Marzipan – beige mat
  • Licorice Lattee Eyeshadow – noir avec des paillettes dorées

Perso, j’ai complétement craque sur le packaging en velours rose pâle qui imite une boite de chocolat à l’ancienne. J’ai trouvé ça super mignon.

Ensuite, j’aime beaucoup les produits que ce soit le choix des couleurs ou la pigmentation des fards. Il y a matière avec cette palette à réaliser de jolis maquillages  pour le boulot ou pour sortir le soir.

Elle est disponible au prix de 35 euros chez Séphora. C’est déjà très raisonnable mais sachez tout de même que les -20% sur les coffrets (jusqu’au 10 décembre) s’appliquent sur cette palette. Elle revient donc à 29 euros en ce moment.

Voilà un joli cadeau de Noël à faire ou à se faire :)

12 21 de Dustin Thomasin

Posted in Lecture
on 3 décembre 2012

Je viens de terminer un roman qui est tout à fait d’actualité en ce moment, 12 21 de Dustin Thomasin.  Et oui, nous ne sommes plus qu’à quelques jours de la fin du monde ou tout du moins de la fin du calendrier Maya. Et c’est ce que raconte l’auteur du best-seller La règle de quatre dans ce nouveau roman. Nous voilà à Los Angeles, le 11 décembre 2012. Gabriel Stanton est épidémiologiste au CDC, il a voué toute sa vie à tenter de trouver un traitement aux maladies à prions. Ce matin là, alors qu’il fait le tour de son labo comme à son habitude, il reçoit un coup de fil d’une jeune interne de l’hôpital local qui pense avoir un patient infecté par la maladie de la vache folle. D’abord sceptique, Stanton finit par se rendre lui-même à l’hôpital examiner le patient. Après un rapide examen, il est forcé de se rendre à l’évidence, il s’agit d’un cas de maladie à prions. Commence alors pour lui une enquête pour déterminer l’origine de la maladie. Mais et si la maladie n’avait rien à voir avec les cas qu’il a pu observé tout au long de sa carrière ? et si cela avait à voir avec le manuscrit ancien qu’un trafiquant d’antiquité remet au même moment à une éminente spécialiste de la civilisation Maya ? Appelé pour tenter de traduire les dernières paroles du patient de Stanton, Chel Manu spécialiste de la civilisation Maya ne tarde pas à comprendre qu’il existe un lien entre le mystérieux livre qu’on lui a confier et la maladie qui risque de contaminer la ville entière. Pour trouver le centre infectieux et peut-être le vaccin, Stanton devra faire appel à Chel afin qu’elle décode le manuscrit faute de quoi des millions de personnes pourraient mourir.

Voilà résumé 12 21, 12 pour décembre et 21 pour le 21ème jour du mois pour ceux qui n’auraient pas suivi. Le jour de l’apocalypse, le dernier jour du compte long chez les Mayas. Et à part ça, il est bien ce roman ? Ma foi, oui, il est bien. Enfin moi j’ai bien aimé. Même si c’est assez différent de ce à quoi je m’attendais. C’est moins haletant, moins scénario catastrophe que ce que j’imaginais en lisant la quatrième de couverture mais cela ne m’a pas empêché de vouloir savoir la suite à chaque chapitre que je finissais. Il n’y a que la fin, je dois dire, que j’ai trouvé un peu bâclé, un peu facile et qui gâche un peu le truc. Ça, c’est dommage car pour le reste, ce roman est vraiment super. Il est vraiment bien documenté tant au niveau des maladies à prions comme la vache folle qu’au niveau de la civilisation Maya. J’ai beaucoup aimé les histoires qui se répondent avant de se rejoindre: celle de Paktul, le scribe d’un des derniers rois mayas et celle de Chel et Stanton. Dans les deux cas, les personnages sont confrontés à l’effondrement de leur monde, de ce qu’ils connaissaient. Ils font face chacun à leur manière. Ce qui m’a aussi plu c’est le mode de narration. L’auteur alterne en effet le récit du point de vue de Chel et de Stanton mais il nous donne aussi à lire le récit de Paktul tel qu’il est rapporter dans le codex que traduit Chel et ses collègues. Bref malgré quelques points négatifs, c’est pour moi un bon roman et j’ai passé un bon moment avec.

Merci à Livraddict et aux éditions Calman Levy pour cette lecture :)

La quatrième de couverture : 11 décembre 2012. Le docteur Gabriel Stanton, éminent chercheur au Centre de contrôle des maladies infectieuses, contemple d’un air incrédule les graffitis annonçant la fi n du monde qu’une bande d’illuminés a disséminés sur les murs de Los Angeles. Ce jour-là, pourtant, ses certitudes les plus profondes seront ébranlées. Un nouveau patient, s’exprimant dans une langue inconnue, présente des symptômes qui le terrifient : insomnie prolongée, sueurs, crises d’épilepsie, hallucinations, pupilles minuscules… C’est une maladie à prions, le pire – la contamination – est à craindre.

Au même moment, Chel Manu, spécialiste de la civilisation maya, se voit confier par un trafiquant d’antiquités un codex inestimable, vieux de mille ans. Déchiffrer un tel manuscrit serait le couronnement de sa carrière. Mais l’intérêt historique s’efface devant l’urgence : ce vestige du passé se révèle indispensable pour enrayer les épidémies du présent. Car il recèle la clé du mystère de l’anéantissement des royaumes mayas. Et, peut-être, de la menace qui pèse désormais sur l’humanité tout entière.

Prochaine lecture : Défi à Sherlock Holmes de Béatrice Nicodème

Les palettes de marque de distributeur, une bonne idée de cadeau ou pas ?

Posted in Beauté, J'ai testé pour vous (ou pas)
on 2 décembre 2012

En cette période de l’année, on voit fleurir dans toutes les marques des palettes de maquillage qu’elles soient multi-usages ou dédies au maquillage d’une partie du visage uniquement. Quand il s’agit des collections de Noël de marque comme Urban Decay, Too Faced ou encore Make up for ever, je n’ai pas trop de doute. Quand il s’agit de marque de distributeur comme Marionnaud, Sephora ou Nocibé, alors là je suis plus dubitative. Que valent ces palettes vendues à petits prix ?

Plutôt que de mourir idiote, quand je suis passée chez Marionnaud, j’en ai acheté deux pour tester. Je suis partie avec la petite palette Make up So precious à 8,90 euros et avec la trousse à maquillage à 14,90 euros.

Dans les deux cas, les palettes choisies permettent de réaliser un maquillage intégral des yeux, de la bouche et du visage. En effet, la petite contient 24 ombres à paupières, 2 rouges à lèvres, 4 gloss et 2 blushes tandis que la plus grande propose 12 fard à paupières, deux blushes, quatre rouges à lèvres, un mascara, un pinceau blush, un applicateur double embout et un miroir.

et la trousse maquillage :

Perso j’aime bien le packaging de ces palettes. La petite se présente dans un petit boitier noir qui s’ouvre et se déplie pour laisser apparaitre les produits et le miroir. La grande, elle, se présente dans une trousse dorée, un brin glamour. Ça, c’est plutôt un bon point pour ces produits.

Après que valent les produits à l’utilisation ? J’ai fait quelques swatches de la trousse make-up pour voir :

là nous avons les quatre fards du haut

et ci-dessus les quatre suivants

Alors premier point la pigmentation. Pour moi, les fards de ces deux palettes ne sont pas assez pigmentés à mon gout. Pour avoir un rendu satisfaisant, il faut bien frotter le pinceau sur le fard et en mettre plusieurs couches sur l’œil.

Deuxième point, le choix des couleurs. C’est quoi ce vert pré sur la troisième ligne de la trousse ? Là j’ai été un peu dubitative, et le suis toujours. Par contre, les 24 couleurs de la petite me plaisent d’avantage et je pense qu’à quelques exceptions près (le vert notamment) je pourrais les utiliser.

Alors bonne ou mauvaise idée de cadeau de Noël ? Je dirai bonne idée à condition de l’offrir à une jeune fille qui commence à se maquiller par exemple. Le grand choix de couleurs (24 fap différents pour le petit modèle) lui permettront de tenter plein de choses différentes, de tester des couleurs variées aussi. A une femme habituée à se maquiller, ce n’est pas la peine. Même pour une petite palette pour les week-end au bord de la mer ou les vacances au ski, oubliez ces produits et tourner vous plutôt vers des mini-palettes comme la Glamour to Go de Too Faced :)