Comment se maquiller pour un entretien d’embauche ?

Posted in Make up
on 29 novembre 2013

Mes ami(e)s l’heure est grave : je cherche un job. Bon j’ai quelques pistes, je passe quelques entretiens. Donc il faut que je me maquille et m’habille au mieux pour faire bonne impression (et peut-être décrocher le job de ma vie). Car faut pas se leurrer un recruteur sera plus réceptif face à un candidat propre sur lui.

Comment fais-je donc me maquiller pour un entretien d’embauche ? C’est la question du jour :)

Le but ? Moi en mieux. Inutile d’en faire des tonnes. Pour moi, le plus important c’est de soigner son teint, d’avoir bonne mine. Le reste c’est accessoire.

Je vais donc appliquer une BB crème ou un fond de teint léger pour camoufler toutes mes petites imperfections, mes rougeurs et mes cernes. Je fais gaffe à l’effet masque (ou plâtre comme vous préférez) et j’utilise peu de matière. Attention, le mieux est l’ennemi du bien :)

fdt accord parfait l'oreal

Ensuite je vais poudrer pour éviter de briller sous les néons des bureaux. Et oui, il suffit d’un petit coup de stress ou de bureaux trop chauffés (voir des deux en même temps, ça c’est pas de bol mais ça arrive) et voilà que je transpire un peu et me mets à briller. Pour éviter ça, je poudre très largement avec la poudre transparente de Bourjois (et je glisse dans mon sac des feuilles de Retouche Matifiante de chez Shiseido :) )

Troisième étape, le blush. Je le choisis rosé comme ma carnation est claire.  J’applique un peu de blush sur mes pommettes en étirant bien jusqu’aux tempes. Effet bonne mine garanti. Attention à ne pas en mettre trop non plus sinon ça se voit et l’effet est raté.

Quatrième étape les yeux.

mascara faux cils papillons L'oreal

Oublié le smocky-eye, oublié le double-liner. Je la joue simple. Un coup de mascara noir sur mes cils du haut pour agrandir mon regard et le tour est joué.

yeux mascara only

Si je veux la jouer un peu plus sophistiqué, je pose une base une base à paupières type primer potion sur toute ma paupière mobile puis je mets un beige sur les trois quarts de la paupière mobile. Puis j’applique un fap plus foncé en coin externe et dans le creux.

Enfin je passe un peu de rouge sur mes lèvres. J’utilise toujours un rouge à lèvres proche de la couleur de mes lèvres. Pour celles qui se poseraient la question, le noir ou le violine, non ce n’est pas une bonne idée. Pareil, on ne se fait pas un ombré lips le jour d’un entretien d’embauche!! Encore une fois, on la joue sobre et naturelle.

ral violet

Me voilà prête.

Enfin presque :) je pense aussi à soigner mes ongles. Et si je dois poser un vernis, je mets un vernis nude. Exit le vert ou le doré même si c’est tendance. Je la joue sobre sachant que je postule pour un poste dans le monde de l’informatique et pas dans la mode. Je vais donc poser quelque chose comme Not just a pretty face d’Essie ou comme le C01 de Une Beauty. Le petit Kiko un peu plus foncé au centre peut également faire l’affaire.

vernis nude essie kiko une beauty

Mon truc en plus ? je fais un gommage une fois par semaine (surtout quand j’ai des entretiens) car cela élimine les peaux mortes (ma peau est plus lumineuse) et cela permet à mon maquillage de mieux tenir.

Avant l’hiver

Posted in Ciné, cinéma
on 28 novembre 2013

J’ai pu voir la semaine dernière en avant-première le nouveau film de Philippe Claudel avec Daniel Auteuil, Kristin Scott-Thomas et Leïla Bekhti sorti hier en salles, Avant l’hiver.

Avant-lHiver-Affiche (476x640)

Dans ce film, Paul (Daniel Auteuil) est un neurochirurgien de soixante ans. Quand on est marié à Lucie (Kristin Scott-Thomas), le bonheur ne connait jamais d’ombre. Mais un jour, des bouquets de roses commencent à être livrés anonymement chez eux au même moment où Lou (Leïla Bekhti), une jeune fille de vingt ans, ne cesse de croiser le chemin de Paul. Alors commencent à tomber les masques : les uns et les autres sont-ils vraiment ce qu’ils prétendent être ? La vie de Paul et Lucie est-elle celle dont ils avaient rêvé ? Qui ment et qui est vrai ? Est-il encore temps, juste avant l’hiver de la vie, d’oser révéler les non-dits et les secrets ? Où sont les monstres et qui sont les anges ?

Avant-lHiver

Que dire, que penser de ce film ? Je dois bien reconnaitre que je ne sais pas trop. J’ai bien aimé dans son ensemble. Il faut dire que le film est servi par une belle brochette d’acteurs que ce soit Daniel Auteuil , Kristin Scott-Thomas (que Philippe Claudel avait déjà dirigée dans son premier film), Leïla Bekhti ou encore Richard Berry. Le rôle de Paul semble écrit pour Daniel Auteuil y a pas de doute. Tout du long, il s’interroge sur ce qu’aurait pu être sa vie s’il avait choisi une autre route, s’il avait fait des choix différents. J’ai aimé l’ambiance mélancolique qui se dégage du film. J’ai été nettement moins sensible par contre au côté oppressant du film. D’ailleurs c’est un aspect que je n’ai pas ressenti du tout pour être honnête. A mon sens même c’est un aspect de trop. Soit le film jouait sur le côté intimiste soit sur le côté thriller. Mais tenter de courir les deux lèvres à la fois n’est pas une bonne idée. Du coup, moi, la fin ne m’a pas pleinement convaincu. Dommage.

avant l'hiver

Pour l’anecdote, j’ai reçu une rose rouge comme dans le film en guise d’invitation :)

Lady Hunt de Hélène Frappat

Posted in Lecture
on 26 novembre 2013

lady-huntCette année pour la deuxième année consécutive, je participe aux matchs de le rentrée littéraire organisés par Priceminister. Dans la sélection de 12 livres proposés, j’ai choisi de recevoir, de lire et de chroniquer Lady Hunt de Hélène Frappat. Et j’ai pas regretté mon choix, loin de là!

L’histoire racontée par ce roman est celle de Laura Kent, agent immobilier à Paris. La jeune femme d’origine mi-irlandaise, mi-bretonne, est hantée depuis quelques temps par un rêve étrange. Elle rêve d’une maison, une maison qui semble avoir une vie propre. Est ce que ce rêve est le premier pas dans la maladie qui emporta son père quand elle était enfant ? C’est ce que se demande Laura. Petit à petit la jeune femme assiste à d’autres phénomènes étranges : un enfant disparait avant de réapparaitre tout aussi mystérieusement dans un appartement qu’elle fait visiter près du parc Monceau; son propre reflet ne s’affiche pas dans les miroirs de certains appartements qu’elle fait visiter. Laura cherche des réponses dans son passé, auprès de sa mère mais aussi de sa sœur cadette, Elaine enceinte de son premier enfant. Elle finira par trouver la clé de l’énigme auprès d’un étrange régisseur capable de guérir les maisons. Je n’en dit pas plus car il est très difficile au final de résumé ce roman. Je crois qu’il faut le lire, c’est tout.

Mon avis ? Personnellement, j’ai adoré. J’ai complétement été captivée par l’ambiance étrange de ce roman qui flotte entre rêve et réalité. Plus j’avançais dans ma lecture, plus je voulais savoir la fin. Certes, c’est assez déroutant. Le livre part dans tout les sens si je puis dire. L’auteur nous raconte en effet des instants de la vie présente de Laura entrecoupés de scènes de son passé. Seul le rêve de son personnage sert de fil rouge tout au long du récit. Et comme l’héroïne, le lecteur hésite entre savoir ce qui tient du rêve ou de la réalité. Par certains côtés, moi, ça m’a rappelé les contes de Maupassant. C’est peut-être à cause de la brume omniprésente dans l’univers de l’héroïne. C’est sans doute aussi dû, pour moi, à tous les miroirs qui ne renvoient pas de reflet (du moins celui de Laura), à la résurgence aussi du passé dans le présent de l’héroïne, la lande battue par la pluie. Plus surement, on est bien là devant un roman gothique. Hélène Frappat en revisite les codes quelques siècles après la grande époque du roman gothique anglais et ça avec brio. Au final, ce roman, j’ai l’impression qu’on l’aime ou qu’on le déteste. Il n’y a pas d’entre-deux possible avec et moi j’ai beaucoup, beaucoup aimé :)

Ma note : 18/20.

La quatrième de couverture : Laura Kern est hantée par un rêve, le rêve d’une maison qui l’obsède, l’attire autant qu’elle la terrifie. En plus d’envahir ses nuits, de flouter ses jours, le rêve porte une menace : se peut-il qu’il soit le premier symptôme du mal étrange et fatal qui frappa son père, l’héritage d’une malédiction familiale auquel elle n’échappera pas ?
D’autres mystères corrompent bientôt le quotidien de la jeune femme, qui travaille pour une agence immobilière à Paris – plus un effet secondaire qu’une carrière. Tandis qu’elle fait visiter un appartement de l’avenue des Ternes, Laura est témoin de l’inexplicable disparition d’un enfant.
Dans le combat décisif qui l’oppose à l’irrationnel, Laura résiste vaillamment, avec pour armes un poème, une pierre noire, une chanson, des souvenirs… Trouvera- t-elle dans son rêve la clé de l’énigme du réel ?

Prochaine lecture : La fille de sa mère

For the Twill of It d’Essie

Posted in Vernis
on 24 novembre 2013

Après Vested Interest. la semaine dernière, aujourd’hui je porte For the Twill of It d’Essie, le joli vernis aux couleurs changeantes qui a donné son nom à la collection d’automne.

For the twill of it (1)

Il est magnifique. J’adore le fait que les reflets changent selon comment il est exposé à la lumière. Un coup vert, un coup violet, un coup gris.

For the twill of it (5)

For the twill of it (12)

For the twill of it (10)

For the twill of it (8)

For the twill of it (7)

Ce qui est dommage c’est qu’il soit si difficile à prendre en photo :)

Et vous, vous le trouvez comment ce vernis ?