Comme Kookai

Posted in Mes créas
on 23 janvier 2009

Ça fait un moment que je lorgne sur le le fameux tour de cou Kookai. Mais voilà, j’ai eu un peu  la flemme pour le pister dans les boutiques de la marque et puis j’ai pensé que sachant tricoter, je pourrai bien me le faire moi-même! Alors j’ai sorti les aiguilles, fait une petite commande chez Bergère de France et je m’y suis mise grâce à un modèle trouvé chez KnitSpirit (revu et corrigé par mes soins). Trois soirées plus tard, j’ai eu mon maxi-tour de cou home-made. Et je ne suis pas mécontente du résultat je dois dire!!! A vu de nez et au vu des photos vues chez Anne-So, Deedee et Nadia, il a l’air aussi long que le vrai.

Voyez plus tôt :


Le truc, c’est que je l’aime tellement que j’en ai commencé un second gris ardoise cette fois :)

Largo Winch

Posted in Ciné, cinéma
on 26 décembre 2008

Cela fait quelques années maintenant que ma mère et moi avons pris l’habitude d’aller au cinéma le 25 décembre. Après le traditionnel repas de Noël, nous filons au cinéma à la séance de 16h ou 18h, ça dépend des années. On va voir un Disney quand il y en a un ou un film d’action. C’est ainsi que l’année dernière on avait vu Enchanted. Cette année n’a pas fait exception : on est allée au cinéma. Et apparemment nous ne somme pas les seuls à aller au cinéma le jour de Noël vu le monde qu’il y avait ! Après avoir un peu hésité entre Les Enfants de Timpelbach et Largo Winch, c’est finalement ce dernier que nous sommes allé voir sur les Champs Elysées.

Le film est directement inspiré de la BD du même nom et reprend en gros les trois premiers tomes (L’héritier, Le groupe W et O.P.A.). L’histoire démarre avec l’assassinat de Nério Winch sur son yacht et l’emprisonnement de son fils adoptif, largo pour trafic de drogue en Amérique latine. Le film se poursuit alternant scènes d’actions hyper rythmées et scène de souvenirs d’enfance. Un vrai régal. J’ai envie maintenant de me plonger dans la BD. Surtout que j’ai vu qu’un nouvel épisode était sorti aussi en 2008.


Synopsis

Le milliardaire Nerio Winch est retrouvé noyé. Une mort forcément suspecte quand on sait qu’il s’agit du fondateur et principal actionnaire du puissant et tentaculaire Groupe W.Qui va hériter de cet empire économique ? Officiellement Nerio n’avait pas de famille. Mais il cachait un secret : un fils, Largo, adopté presque trente ans plus tôt dans un orphelinat bosniaque. Seul problème, ce jeune héritier vient d’être jeté dans une prison du fin fond de l’Amazonie. Accusé de trafic de drogue, il clame son innocence.

Nerio assassiné. Largo emprisonné. Et si ces deux affaires faisaient partie d’un seul et même complot visant à prendre le contrôle de l’empire Winch ?

public or not public

Posted in Au théatre ce soir
on 19 novembre 2008

Je suis donc allée voir comme je vous le disais Public or not Public au théâtre du Ranelagh. Sur scène, quatre comédiens (Stéphane Brel, Nicolas Dandine, Marc Faget et Jérôme Jalabert) retracent depuis l’origine non pas l’histoire du théâtre mais la place du public dans cette évolution. Et nos quatre comparses font remonter l’origine de cette histoire à la préhistoire!! Selon eux, c’est la présence de spectateurs qui aurait inciter à feindre. Le théâtre est né! Seront évoquer ensuite tour à tour la place du public dans la tragédie grec , les jeux du cirque à Rome, les Mystères médiévaux, le théâtre de cour, l’opéra et plus récemment  le théâtre d’auteurs.
Quand j’ai réserve, j’avais parcouru rapidement le descriptif de la pièce et à un moment ils mentionnaient que la phrase que Pierre Desproges se plaisait à dire très souvent « Public chéri, mon amour » pourrait être l’exergue de cette pièce. Me demandez pas pourquoi ça m’a marque, je ne saurai pas vous répondre. En tout cas, c’est exactement ça. La pièce est là pour nous le rappeler que, depuis la nuit des temps, le théatre ne serait rien sans le public. Ce qui permet au théatre d’exister, c’est la présence du public qui se masse sur la place du village ou dans un lieu exclusivement consacré à ça. Pas de public, pas de théatre!!
Dis comme ça, ça vous parait peu engageant ? Vous avez tord car c’est plutôt bien. Exit toutes les théories sur la catharsis et le rôle du théâtre comme purge des sentiments humains. La pièce se veut résolument interactive; le public des l’entrée en scène des acteurs est invité à participer. Mais pas simplement en applaudissant, non cela va jusqu’à monter sur scène et prendre part au spectacle. Des spectateurs sont invités par exemple à monter sur scène pour une scène inspirée de Carmen.


Cette pièce est résolument originale et drôle. Le rythme est enlevé, pas un moment on ne s’ennuie. On passe un excellent moment, sans prise de tête.  Ca faisait longtemps que je n’avais pas été emballée par une pièce comme ça!


C’est où : au théâtre du Ranalegh, 5 rue des vignes 75016 paris
Les dates : jusqu’en janvier 2009

 

Bond… My name is Bond

Posted in Ciné, cinéma
on 12 novembre 2008

Ca y est, j’ai vu le dernier opus de la saga James Bond, Quantum of solace. J’y serai bien allée plus tot, voyez vous bien mais cela a été impossible. En effet moi naïve que je suis, je décide samedi dernier d’aller voir le film. Ca n’a échappé à personne qu’on est le 1er novembre donc un samedi, qu’il pleut et puis petit détail anodin en apparence, le film est sorti mondialement la veille. Tout le monde avait donc décidé d’aller voir Quantum of solace! Résultat, salle comble, plus de place, pas un siège de libre, même pas un strapontin. Pourquoi tous ces gens voulait-ils aller voir le nouveau James Bond ? Pourquoi ne pas aller voir Mesrine plutôt ? C’est bien Mesrine. Enfin je vous dis ça, je ne l’ai pas vu non plus! Donc ne voulant pas attendre la séance d’après, je suis rentrée sans voir Quantum of solace. Désolation! Mais je ne m’avoue pas vaincue. Je veux le voir, je le verrai! J’y suis donc allée hier. Là pas de souci, il y avait beaucoup de monde mais il restait de la place. Soupir de soulagement!
Venons-en au film! Il s’agit donc de la suite de Casino Royal avec Daniel Craig dans le rôle de James. Je préfère Pierre Brosnan et Roger Moore dans ce rôle. Ca n’empêche que j’ai bien aimé ce nouvel épisode. cette fois, ça démarre sur les chapeaux de roue. Le film s’ouvre sur une course poursuite digne des meilleurs James Bond. Et ça n’arrête pas! Tout au long du film, c’est cascade et course-poursuite.
Et puis un James Bond amoureux, prêt à tout pour venger la mort de sa bien-aimée (Vesper alias Eva Green dans Casino Royal), c’est pas si courant. Ca donne une autre dimension au personnage. Jusque là, on effleurait à peine la vie sentimentale du Don Juan. Il séduisait toutes les filles mais ne restait jamais bien longtemps avec aucune. C’est à peine aussi si on évoque dans un épisode (je ne sais plus lequel) une épouse et un fils mort il y a bien longtemps.
Bref le nouveau James Bond est, quoique en dise la critique, un bon film. On prend toujours autant de plaisir à retrouver notre ami Bond!


Synopsis : Même s’il lutte pour ne pas faire de sa dernière mission une affaire personnelle, James Bond est décidé à traquer ceux qui ont forcé Vesper à le trahir. En interrogeant Mr White, 007 et M apprennent que l’organisation à laquelle il appartient est bien plus complexe et dangereuse que tout ce qu’ils avaient imaginé… Bond croise alors la route de la belle et pugnace Camille, qui cherche à se venger elle aussi. Elle le conduit sur la piste de Dominic Greene, un homme d’affaires impitoyable et un des piliers de la mystérieuse organisation. Au cours d’une mission qui l’entraîne en Autriche, en Italie et en Amérique du Sud, Bond découvre que Greene manoeuvre pour prendre le contrôle de l’une des ressources naturelles les plus importantes au monde en utilisant la puissance de l’organisation et en manipulant la CIA et le gouvernement britannique… Pris dans un labyrinthe de traîtrises et de meurtres, alors qu’il s’approche du vrai responsable de la trahison de Vesper, 007 doit absolument garder de l’avance sur la CIA, les terroristes et même sur M, afin de déjouer le sinistre plan de Greene et stopper l’organisation…