Nouvelle invitation, cette fois pour la marque Swildens :
Voici le dernier brunch de la capitale testé par mes soins : le brunch du Bistrot des compères, en plein cœur du Marais.
Le brunch est assez classique. On commence par une viennoiserie au choix et deux grandes tartines de pain avec confiture et beurre. Pour ma part, j’ai choisi le roulé chocolat-pistache. Et c’était très bon. Le tout est accompagné d’un boisson chaude : thé, café ou chocolat et d’un jus de fruit (petit le jus de fruit) au choix.
En plat, c’est pour tout le monde pareil. Seul la garniture est au choix : saumon ou tout épinards (je crois qu’il y avait un troisième choix mais j’ai complètement oublié ce que c’était, désolée).
en dessert, pas de choix du tout. Ce dimanche-là c’était brioche façon pain perdu et basta.
Au final, j’ai trouvé ce brunch sympathique mais pas exceptionnel. C’est à mon avis, juste correct pour le prix (25 euros par personne quand même) J’ai regretté pour ma part qu’il n’y a pas de choix pour le dessert et que le verre de jus de fruit soit un peu petit. Bref je ne pense pas y retourner.
C’est où ?
Le Bistrot des compères
16 Rue Charlemagne
75004 Paris
L’autre soir, j’ai envie de me faire une tarte salée et hésite entre la tarte à l’oignon et la quiche au saumon. Finalement n’ayant pas assez d’oignons, je vais faire un mixte des deux : une tarte aux oignons et au saumon fumé.
Pour cela il faut :
1 rouleau de pate feuilleté
4 oignons
6 c.s de crème fraiche épaisse
2 jaunes d’oeuf
du saumon fumé
noix de muscade
sel et poivre
Préaparation :
Épluchez les oignons et coupez les en fines lamelles. Dans une poele, faites les revenir avec 20 g de beurre. Ajoutez de l’eau chaude jusqu’à recouvrir les oignons et laisser cuire à feu doux jusqu’à complete evaporation de l’eau.
Pendant ce temps, dans un saladier, melangez la creme fraiche, les jaune s d’oeufs. Salez, poivrez. Ajoutez le saumon debité en fine lamelle, les oignons et une pincée de noix de muscade.
Etalez la pate dans un moule. versez dessus la préparation et enfournez dans un four préchauffé à 220° pour 30 minutes.
Si on parlait un peu de jolies choses, de luxe et d’élégance ? Hein, qu’est ce que vous en dites ? C’est bientôt Noël aussi et mettre une jolie montre sur sa liste, ça le fait. Non pas une Rolex, trop clinquant, trop ostentatoire à mon goût mais plutôt une Tudor.
Tudor, c’est une marque d’horlogerie fondée dans les années quarante par Hans Wilsdorf , le fondateur de Rolex. Si au départ la marque s’appuie sur la renommée de sa grande sœur à l’écusson, très vite, elle se fait sa place grâce notamment à des atouts techniques incomparables comme le boîtier étanche Oyster et le mouvement automatique. Les montres Tudor acquièrent ainsi très vite leurs lettres de noblesse.
En 2010, la marque est toujours une référence en matière de montres de qualité. Et son nouveau modèle, la Tudor Heritage Chrono en est bien la preuve. Directement inspiré du chronographe Oysterdate, une icône de la marque lancé dans les années 70. Tudor Heritage Chrono s’habille d’un boîtier enfermant un calibre de chrono automatique réputé pour son endurance et sa fiabilité. Ses mensurations ont été revues à la hausse par rapport au modèle original passant de 38 mm à 42 mm de diamètre. Il reçoit, cette fois, une lunette tournante que n’avait pas la version initiale et est livré avec deux bracelets : l’un en acier et l’autre en toile de couleur noire, grise et orange, fermés par une boucle ardillon inspirée des fermoirs des harnais équipant les sièges « baquets » des voitures de l’écurie Porsche Motorsport dont Tudor est le « Timing Partner ».
Alors, on ajoute Tudor Heritage Chrono à sa liste de Noel ?