Contre l’abandon

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on 24 juin 2011

Tous les étés c’est pareil, je fais des bons au plafond quand j’apprends le nombre d’abandons sur les routes de France. Parce que petite, j’avais un chat et un chien qui venaient toujours en vacances avec nous (ma mère ne réservant que là où les animaux étaient admis, quitte à payer un supplément). Parce qu’aujourd’hui même si je n’ai plus d’animal de compagnie, je suis encore cavalière : les chevaux, les chiens sont très présents dans mon univers et ceux-là sont bien traités, croyez-moi qu’on les aiment nos loulous!). Du coup, je ne reste jamais indifférente et fustige régulièrement ces propriétaires qui abandonnent leurs bêtes.

C’est pourquoi, je voulais aujourd’hui parler de la nouvelle campagne de 30 Millions d’Amis pour lutter contre l’abandon des animaux de compagnie. Il faut savoir déjà messieurs, dames que si vous abandonnez votre animal vous êtes passibles de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende (Art 521-1 du code pénal). Et toc! Oui mais bon c’est rarement appliqué! Pourquoi ? Hein pourquoi ? Non parce qu’un chien ou un chat abandonné est presque irrémédiablement condamné au pire lui!! S’il ne meurt pas de faim ou d’un accident, il sera capturé par la fourrière avec le risque d’être euthanasié si aucun refuge ne le recueille à l’issue d’un délai de 8 jours.


30 Millions d'Amis – Campagne contre les abandons par 30-Millions-d-Amis

En tout cas, la fondation espère faire baisser le nombre terrifiant d’abandons et diffuse à cet effet un guide « Vacances pas bêtes » avec pleins d’infos, trucs et astuces pour permettre à chacun d’organiser au mieux son séjour avec son compagnon à quatre pattes. Ils proposent même un autocollant à coller à l’arrière de la voiture sur le modèle « bébé à bord » et 3 cartes postales pour partager avec vos amis votre amour des animaux.

Alors on se mobilise ? Dites moi oui :)

Article sponsorisé

Un séjour SPA à gagner avec Marie Brizard

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on 22 juin 2011

Revoilà l’été, le temps des apéros en terrasse. Pourquoi ne pas commander une anisette quand ces messieurs commandent un Pastis ? c’est tellement plus chic, tellement plus féminin. Rien que le mot, anisette. C’est vrai que pour moi c’est la boisson des femmes au XIXème siècle. Combien d’héroïnes de Zola trempent leurs lèvres dans une anisette!! Pourquoi ne pas faire comme elles ? L’anisette, elle a tout pour séduire.

Issue d’une double distillation de 11 plantes, d’agrumes et d’épices parmi lesquels l’anis vert du bassin méditerranéen, la cannelle de Ceylan, l’orange, le citron d’Espagne, l’iris, l’angélique, la coriandre, l’anisette Marie Brizard nous offre en effet une liqueur au gout unique et savoureux. Idéal pour se rafraichir cet été que ce soit simplement on the rocks ou encore en cocktail. D’ailleurs si on ne connait pas la recette exacte de l’anisette marie Brizard (secret jalousement gardé), on connait celle de l’anisette tonic. Il faut 3cl d’Anisette Marie Brizard, 1 cl de jus de citron, ½ tranche de citron. On mélange le tout et on complète de Tonic et de glace.

Et puis tiens, si on allait déguster une anisette, sur les terres de la marque dans le bordelais ? Comment ? Rien de plus simple ! En participant au concours organisé par Marie Brizard sur le site www.puresecret.fr. Trois petites questions toutes simples, et peut-être que le prochain apero aura lieu dans un hôtel de luxe avec SPA et tout et tout.

Et bien sûr c’est à consommer avec modération. L’abus d’alcool est dangereux pour la santé.

 

Terrazza Martini, the place to be

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on 20 juin 2011

Les champs-Elysées, des vigiles à l’entrée, un ascenseur, on monte. Une hôtesse pour vous accueillir. Une montée des marches (presque comme à Cannes, tapis rouge et tout!). Et, et…waouh!!!  C’est comme ça qu’il y a une dizaine de jours j’ai découvert les terrasses Martini.

Oui dommage ce soir-là, c’était couvert! Mais quand même sirotez son cocktail dans ce lieu, encore une fois, c’est juste waouh!! Ce cadre exceptionnel va faire de ce lieu THE place to be je suis sure:) Et va falloir se dépêcher d’y aller car ce n’est ouvert, sur invitation exclusivement, que jusqu’au 9 juillet.

Pour vous y rendre, il faut s’inscrire sur le site ici.

Edit du 23/06/2011 : le site fonctionne enfin :)

C’est où ?

Terrazza Martini
50 avenue des Champs Elysées
75008 Paris
Métro : Franklin D. Roosevelt

La table des enfants d’Isabelle Hausser

Posted in Lecture
on 17 juin 2011

Aujourd’hui, on parle livre avec le dernier roman que j’ai lu, La table des enfants d‘Isabelle Hausser. Agnès, auteur de romans policiers à succès, vit à Bruxelles avec son second mari Laurent et ses deux plus jeunes enfants, les jumeaux Etienne et Suzanne. En apparence, Agnès a tout pour être heureuse. Jusqu’au jour où on lui annonce la mort dans un accident de voiture de sa fille ainée, Elizabeth et de son gendre. Bouleversée, Agnès se rend en Allemagne où résidait le couple afin de prendre en charge ses petits-enfants et de régler la succession. Au fil des jours, elle va chercher à comprendre qui était Elisabeth avec qui elle avait rompu tout lien depuis plusieurs années. Mais en partant sur les traces de la chère disparue, c’est sur sa propre vie qu’elle va devoir se pencher.

J’ai beaucoup aimé ce roman sur le thème des relations mère-fille. C’est toujours écrit avec beaucoup de sobriété, on ne tombe jamais dans le pathos même quand il s’agit d’aborder le délicat sujet de la mort d’un enfant. Le désespoir d’Agnès est narré avec beaucoup de finesse. Le seul passage que je n’ai pas aimé c’est l’extrait du roman qu’Agnès est en train d’écrire; j’ai du mal à comprendre ce que ça fait là. J’ai même failli le sauter. Autant le passage quelques pages plus loin du dernier roman d’Elizabeth, je comprends mais l’autre non. C’est un peu du remplissage et c’est dommage car le roman n’a pas besoin de ça! Vous l’aurez compris vu que c’est le seul bémol que j’ai que ce roman vaut le coup de s’y plonger pour quelques heures :)

La quatrième de couverture : A Bad-Godesberg, petite ville allemande sur les bords du Rhin, la maison de conte de fées est encore tout ornée des décorations de Noël et peuplée de cris et de pleurs d’enfants. Dans cette demeure toujours imprégnée de la présence de sa fille, Agnès prend vraiment conscience qu’elle ne reverra plus jamais Elisabeth, morte dans un accident de voiture et qu’entre la mère et la fille la communication est définitivement rompue.
C’est pour lutter contre le désespoir qu’elle essaye de comprendre qui était vraiment sa fille et de lever les mystères que celle-ci semble avoir semés à son intention. Auteur de thrillers, elle va mener une véritable enquête policière pour découvrir la vérité.
Cependant, en cherchant à tracer le portrait de sa fille, c’est sa propre image que contemple Agnès, comme si Elisabeth s’était fondue en elle, et c’est son propre destin dont elle dessine les contours.

Prochaine lecture : Le cahier bleu