Si y a bien une cuisine dont je raffole, c’est la cuisine libanaise. J’adore tout simplement!!! Alors quand j’ai repéré sur KGBDeals une offre pour un restaurant libanais, j’ai sauté dessus. Et c’est comme ça que je suis allée diner à L’Ehden dans le 10ème arrondissement de Paris.
On a eu le droit en entrée à un assortiments de mezze . Au programme : tranches de betteraves, hommos (miam), haricots verts préparés, taboulé, olives, etc.. Le tout bien sûr accompagné de pain pitta :)
aussitot suivi par un assortissement chaud :
Puis en plat, on a eu droit à des grillades (que j’ai oublié de prendre en photo d’ailleurs) accompagnées de pommes de terre sautées.
Et un dessert :
Et les prix ? comptez entre 8 et 9 euros l’entrée et 12 et 15 le plat. C’est tout à fait correct vu les tarifs habituellement pratiqué par les restau libanais à Paris.
Mon avis ? Rien à redire! L’accueil est sympathique, le patron aux petits soins. On a bien mangé et fait rarissime pour un libanais, je ne suis pas ressorti de là l’estomac plombé jusqu’à l’écœurement. C’est vraiment une adresse à connaitre :)
C’est où ?
L’Ehden
69 rue de Maubeuge
75010 Paris
Je suis un peu en retard dans mes chroniques de livres puisque j’en suis au troisième roman après La solitude des nombres premiers de Paolo Giordano. C’est pas que je n’ai pas aime le roman, c’est juste que j’ai un peu la tête sous l’eau en ce moment. Suffit de regarder le nombre de post sur le blog cette semaine pour s’en rendre compte :) Mais revenons-en à nos moutons et au roman de Paolo Giordano. La solitude des nombres premiers raconte l‘histoire d’Alice et de Mattia, deux êtres en souffrance qui se croisent, se reconnaissent mais n’arrivent jamais vraiment à se lier. Petite, Alice a fait une grave chute de ski qui la laissera handicapée toute sa vie. Pour se venger de son père qu’elle juge responsable, elle rompt tout dialogue avec lui et sombre petit à petit dans l’anorexie. De son côté, Mattia a délibérément abandonner une partie de lui-même. La culpabilité le ronge et pour tenir, il se plonge dans l’étude des mathématiques. Ils se rencontrent en chemin, font un bout de chemin ensemble avant de se perdre de vue.
L’histoire est écrite comme des tranches de la vie d’Alice et de Mattia de 1983 à 2007, comme autant d’instantanés pris sur le vif. Par petite touche, on plonge dans l’univers des deux personnages, leur solitude, leur incapacité à vivre dans le monde qui les entoure. Dès les premières pages, j’ai plongé, happée par l’histoire pour n’en ressortir que 350 pages plus loin. Au début, ça m’a rappelé le roman de Patrick Cauvin, e=mc2 mon amour. Et puis non, c’est différent. Parce que dans la vie d’Alice et de Mattia, il n’y a pas vraiment de place pour l’amour. En tout cas, c’est un beau roman, pas le roman du siècle mais un livre qui se lit bien. Perso, vous l’aurez compris, j’ai beaucoup aimé.
Quatrième de couverture : Elle aime la photo, il est passionné par les mathématiques. Elle se sent exclue du monde, il refuse d’en faire partie. Chacun se reconnaît dans la solitude de l’autre. Ils se croisent, se rapprochent puis s’éloignent, avant de se frôler à nouveau. Leurs camarades de lycée sont les premiers à voir ce qu’Alice et Mattia ne comprendront que bien des années plus tard : le lien qui les unit est indestructible.
Prochaine lecture : Le choix d’une femme libre de Françoise Bourdin
Ca faisait un moment que j’avais envie d’un nouveau sac. J’avais parlé du Orlov de Céline mais cette année encore le budget me fait défaut. J’ai donc louché sur une marque plus abordable. Le Midday Midnight de Gérard Darel m’a semblé idéal. Il est suffisamment grand pour contenir ta maison, le cuir est superbe et il reste malgré tout abordable. Il est devenu mien samedi après-midi :) J’ai choisi un joli coloris terre de sienne pour changer un peu des sacs marrons ou noirs que j’ai l’habitude de porter. J’ai comme l’impression que je vais pas le quitter celui-là!
Blouse Sandro
Pantalon Cache Cache
Ballerines Soft Grey
Sac « Midday Midnight » Gérard Darel









