Il faisait beau à Paris hier. Du coup j’ai profité pour étrenner ma deuxième robe Me-Paris de la saison.
Robe RIKADY de chez Me-Paris offerte par la marque
Ballerines Tamaris
Sac La Halle
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Mémé is dead. Berthe n’est plus. Armand avait « un peu » oublié sa grand-mère… Pharmacien, il travaille avec sa femme Hélène à Chatou. Dans un tiroir de médicaments, Armand cache ses accessoires de magie car il prépare en secret un tour pour l’anniversaire de la fille… de son amante Alix. Et mémé dans tout ça ? On l’enterre ou on l’incinère ? Qui était Berthe ?
Voici le synopsis du nouveau film de Bruno Polyades, « Adieu Berthe ou l’enterrement de mémé » qui sortira en salle le 20 juin prochain.
La bonne nouvelle du soir, c’est que j’ai la possibilité de vous faire gagner 3 fois deux places pour aller le voir au cinoche :)
Pour cela rien de plus simple : vous regardez l’extrait ci-dessous et vous répondez dans les commentaires à la question suivante : Que ne doit-on pas dire selon Valérie Lemercier parce que c’est vulgaire ?
Vous avez jusqu’au mercredi 20 juin 2012 minuit pour tenter votre chance :)
Si vous me suivez depuis longtemps, vous savez que j’adore la cuisine thaï. J’ai déjà eu l’occasion de vous parler de deux restaurants thaïlandais où j’ai pu manger à Paris et que j’affectionne tout particulièrement. Mais comme on dit jamais deux sans trois et dimanche dernier, j’en ai trouve un autre. Son nom ? Prik Thai.
Prik Thai est tenu par un jeune couple franco-thailandais. Lui en salle, elle et son frère en cuisine. Et cela fonctionne rudement bien :)
J’ai longuement hésiter devant la carte avant de me décider en entrée pour des brochettes de poulet à la citronnelle. Il faut dire que la soupe de gambas à la citronnelle ou la salade de papaye verte me faisaient de l’œil aussi!
En plat, rebelote!! J’hésite entre un Pad Thaï, le fameux plat thaïlandais à base de nouilles sautées et un poulet au curry vert. Au final, le poulet l’a emporté :) Et je n’ai pas été déçue, c’est relevé comme il faut. Pas autant que la-bas, mais assez quand même.
En dessert, j’ai pris un riz gluant au lait de coco accompagné de mangue fraiche. Là encore je ne suis pas déçue et je me régale. Le riz légèrement tiède est délicatement parfumé par la noix de coco dont il est arrosé.
Côté tarif, c’est raisonnable. Il vous faudra débourser entre 7 et 12 euros pour l’entrée et entre 12 et 21 euros pour le plat. Pour vous donnée une idée, mon entrée était à 9 euros, et mon plat à 15.
Moi je retiens l’adresse car j’ai vraiment bien mangé :)
C’est où ?
Prik Thai
160, avenue du Maine
75014 Paris
J’ai fini il y a quelque temps déjà et c’est seulement maintenant que je vous en parle, Fautes de preuves de Harlan Coben. L’histoire est celle de Wendy Tynes une journaliste de télé-réalité dont la spécialité est de traquer les pédophiles. Sa route croise celle de Dan Mercer, un travailleur social qu’elle soupçonne d’être un pédophile. Elle décide de s’en occuper. Mais voilà et si elle s’était trompé ? si elle avait fait condamné un innocent ? Car Wendy finit par avoir des doutes. Elle décide alors de mener l’enquête et de découvrir ce que cache vraiment Dan Mercer et de le réhabiliter si nécessaire.
J’aime les romans de Harlan Coben :) Et celui-ci ne fait pas exception mais ce n’est à mon sens pas le meilleur. Pourquoi ? Non pas parce que l’on ne retrouve aucun des personnages auxquels on est habitué quand on fréquente Harlan Coben depuis un moment. Exit ici Myron Bolitar. Il s’agit là d’un roman qui ne s’inscrit dans aucune série. Même si Harlan Coben ne s’interdit pas de donner un petit rôle à Win, le copain de Myron qui devient ici un ancien amant de Wendy ou à Big Cindy que les afficionados de l’auteur n’auront pas manqué de reconnaitre. Mais mis à part ces clins d’oeil, les personnages sont completement indépendants et non moins attachants. Alors ? et bien peut-etre parce que l’intringue (ou du moins certains points) se laissent deviner. Tiens moi la fin j’avais deviner depuis un petit moment (je n’en dit pas plus car je ne veux pas casser le truc). C’est finalement une conclusion assez convenue. Mais attention je ne dis pas que c’est mauvais. Au contraire, on se laisse prendre à l’intrigue et on tourne les pages sans s’en rendre compte. Oui ça se lit ultra-rapidement. Au final, ça reste malgré tout un bon Harlan Coben.
La quatrième de couverture : Wendy Tynes traque les prédateurs sexuels. Elle n’est pas flic, elle présente un show télé. Une journaliste féroce au service d’une mécanique impitoyable : faire tomber en direct ceux qui croyaient échapper à la justice.
Sa prochaine cible : Dan Mercer.
Prochaine lecture : Combien ? de Douglas Kennedy