Chevallier et Laspalès sont des Menteurs

Posted in Au théatre ce soir
on 15 octobre 2012

Le duo de comiques, Chevallier et Laspalès remontent sur scène et sont depuis quelques semaines à l’affiche de la pièce Les Menteurs, une comédie anglaise de  Anthony Neilson au théâtre de la porte Saint-Martin. Vous le saviez ça ? Et bien moi, j’ai vu la pièce la semaine dernière:)

Le rideau se lève un soir de Noël dans une rue tranquille de Londres. Chargés d’annoncer une mauvaise nouvelle à deux personnes âgées au cœur fragile, deux braves « bobbies » appuient sur la sonnette d’un petit pavillon … La maladresse des deux policiers (Chevallier et Laspalès) n’égalant que leur absence de jugeote et l’affaire prend rapidement une tournure des plus burlesques. La vieille dame n’a plus toute sa tête, une voisine inquiétante terrorise son monde, un pasteur cache quelque chose, une jeune fille peut en cacher une autre, un chien aboie…

Alors, alors ? c’etait comment en vrai ? Eh bien j’ai passé une bonne soirée. Ce n’est pas un scénario hyper original et le quiproquo est très vite percé à jour mais c’est pas mauvais. On trouve là tous les ingrédients du boulevard. L’amant dans le placard (là en l’occurrence c’est le pasteur), des portes qui claquent, des quiproquos et des bons mots. Plusieurs répliques m’ont tiré un large sourire voir même un petit éclat de rire parfois. Et ça fait du bien :) Le duo de comique Chevallier et Laspalès est plutôt bon dans le rôle de ces deux policiers so british. L’un, un peu benêt, l’autre tentant tant bien que mal de mener l’affaire comme dans tout bon duo de comiques.

Bref je pense que je peux vous recommander la pièce. Elle vaut largement le déplacement :)

 C’est où ?

Les Menteurs

Théâtre de la Porte Saint-Martin
18 Boulevard Saint-Martin
75010 Paris
Métro Strasbourg-St-Denis

Qui a gagné sa place pour Bachelorette ?

Posted in Concours
on 13 octobre 2012

Il y a une dizaine de jours je vous proposais de remporter des places pour aller voir Bachelorette avec Kirsten Dunst, Isla Fisher, Lizzy Caplan, Rebel Wilson, James Marsden, Adam Scott, Ella Rae Peck. Le film sortant mercredi 17 octobre j’avais fait en sorte d’arrêter le concours assez tôt pour que vous puissiez recevoir vos places pour la sortie du film en salle. Il est donc temps d’annoncer les gagnants.

Il y a eu 15 participations au total. J’ai donc tiré au sort cinq participants qui vont recevoir chacun deux places pour aller voir le film avec la personne de leur choix. :

Les gagnants sont donc :

Lilli2010 (commentaire n°1)

MakeupbyNora (commentaire N°4)

Fleur (commentaire n°8)

Emi (commentaire N°9)

Nature74 (commentaire N°11)

Bravo à vous cinqSmile

Je vous envoies un mail de suite.

L’enfant de cristal de Theodore Roszak

Posted in Lecture
on 10 octobre 2012

Je viens de finir L’enfant de cristal de Theodore Roszak, reçu dans le cadre d’un partenariat avec Livr@addict et Le livre de Poche que je remercie bien. L’histoire débute alors que Julia Stein, gérontologue engagée, se voit confier un cas peu banal : un enfant atteint de progéria, Aaron Lacey. Julia est bien décidée à faire tout ce qui est en son pouvoir pour que cet enfant vive le plus longtemps possible n’hésitant pas à tester des traitements à la limite de la déontologie. Mais voilà qu’alors que rien scientifiquement ne le laissait présager, Aaron se met à régresser. D’un vieillard très affaibli, il devient vite un enfant dans la force de l’age, un enfant doté d’une beauté ahurissante. Rendu à ses parents, Aaron fugue. Il se réfugie d’abord chez Julia dont la famille vole en éclat à cause de lui puis chez un gourou de l’éternelle jeunesse, Peter de Leon.  Julia complétement envoutée par cet être surnaturel, se rend à son tour au Mexique chez DeLeon afin de protéger Aaron et de l’assister dans sa métamorphose.

Alors qu’en ai-je pensé ? Et bien j’ai été assez perplexe devant ce livre pour ne pas dire très perplexe. L’idée de départ est bonne. Parlé de la vieillesse, de la mort, de la volonté des hommes à repousser sans cesse les bornes de la vie avec tous les problèmes que cela pose, s’interroger sur les limites de la génétique tout ça, c’etait plutôt bien et ça laissait espérer un bon roman. Mais malheureusement il n’en est rien. L’action tout d’abord est poussive et sans grand intérêt. Il n’y a pas de rebondissement, rien qui tienne le lecteur en éveil. Et pourtant, je pense qu’il y avait moyen de faire décoller l’histoire. Mais non jusqu’au bout, c’est plat. Pire la fin, pour moi n’a ni queue ni sens. C’est annoncé au trois quart du livre par ce qui m’a semblé un revirement soudain. C’est un peu comme si l’auteur était parti dans une mauvaise direction et qu’il faisait brusquement volte-face. Bref, ça m’a laissé perplexe. Ce qui m’a aussi laissée perplexe, c’est l’usage que fait le roman des mythes et légendes. Le roman est en effet bourré de références à la mythologie : Eros, Adonis, Chronos, etc… L’auteur n’hésite pas non plus à faire d’Aaron une incarnation de Cupidon. Ok et après ? Le début d’explication par la mythologie tombe aussi très vite à plat. Encore une fois c’est dommage, il y avait matière. Bref, personnellement, je me suis un peu ennuyée à la lecture de ce roman et j’étais à deux doigts de l’arrêter.

La quatrième de couverture :  Julia Stein, une brillante gérontologue, se voit confier un cas exceptionnel, Aaron Lacey, un enfant atteint de progéria. Quand ses parents le lui confient, il présente tous les signes de la vieillesse : petit, voûté, la vue faible, le crâne chauve. Touchée par Aaron, Julia tente tout ce qu’elle peut pour lui venir en aide, quitte à user de méthodes peu conventionnelles. Commencent alors chez Aaron, dont le corps est épuisé, une série de métamorphoses qui vont en faire un être exceptionnel, d’une intelligence rare, d’une sensibilité peu commune, d’un savoir iconoclaste.
Après diverses péripéties, Aaron va fuir son entourage et se retrouver au fin fond de la campagne mexicaine, dans l’étrange propriété d’un extravagant docteur DeLeon, dont les travaux sur le vieillissement sont plus que sujets à caution… Critique d’une société dans laquelle la condition humaine est de plus en plus médicalisée et aux ordres d’une philosophie rationnelle et scientifique, L’Enfant de cristal est aussi une bouleversante réflexion sur le corps, la vieillesse et le temps qui passe.

Prochaine lecture : 13 rue Thérese de Elena Mauli Shapiro

Miss Fancy Pants

Posted in Beauté
on 8 octobre 2012

Les vernis, c’est un peu comme la mode. A chaque saison, sa nouvelle collection, ses nouveaux coloris. C’est bon pour le commerce cette histoire. Et ça marche. La preuve, j’ai craqué sur deux vernis de la collection automne/hiver 2012 d’Essie baptisée Stylemonics. Cette nouvelle collection comprend six nouveaux vernis : un vert sapin baptisé Stylemonics justement, deux beiges (l’un clair, l’autre plus foncé), un fushia, un rouge et un bordeaux.

A la faveur d’une promo chez Monop’, j’ai embarqué au milieu des bananes et du camembert, le beige joliment baptisé Miss fancy pants et le bordeux/lie de vin baptisé quand à lui Recessionista.

Côté application, c’est toujours un régal (mais c’est moi ou les pinceaux ont changé ? et sont encore plus larges et plus plats ?). Deux coups de pinceau et le pouce était recouvert. Pas besoin de passer et repasser.

Bref j’adore :) je me demande si je ne vais pas craqué aussi pour Skirting the issue aussi incessamment sous peu…

Et vous, vous avez craqué pour la collection Stylemonics ? Allez dites moi tout :)