Concours : 5×2 places à gagner pour Le Capital

Posted in Concours
on 1 novembre 2012

Aujourd’hui je vais vous gâter puisque Cinefriends m’a proposé (et j’ai accepté) de vous faire gagner 5 fois deux places pour le nouveau film de Costa-Gavras (un grand nom du cinéma) avec Gad Elmaleh, Le capital.

Adapté du roman éponyme de Stéphane Osmon, le film, qui sortira le 14 novembre, raconte la résistible ascension d’un valet de banque dans le monde féroce du Capital.

Allez tiens je vous mets la bande annonce :

Et maintenant pour gagner vos places, il va falloir travailler un peu :)  Vous allez en effet devoir chercher un peu pour répondre à la question suivante : citez-moi un film (hormis le capital) dans lequel Gad Elmaleh a joué.

Vous avez jusqu’au 18 novembre 2012 minuit. Je ferai un tirage au sort parmi toutes les bonnes réponses pour déterminer les 5 gagnant(e)s et annoncerai les résultats sur le blog et sur la fan page du blog le lendemain.

Bonne chance à tous :)

13, rue Thérèse de Elena Mauli Shapiro

Posted in Lecture
on 30 octobre 2012

J’ai terminé ce week-end 13, rue Thérèse d’Elena Mauli Shapiro et je viens vous en parler aujourd’hui. L’histoire débute alors que Trevor Stratton, universitaire américain vient de débarquer à Paris pour enseigner. Dans son bureau à la fac, il découvre une boite rempli de lettres et d’objet ayant appartenu à une femme, Louise Brunet qui vécut au début du XXème siècle.  Fasciné par ces lettres et ces objets au poing de perdre pied, Trevor se met à reconstituer progressivement l’histoire de Louise : son amour passionné pour son cousin mort à la guerre, son mariage avec un homme travaillant pour son père, son amitié avec une de ses élèves.

Mon avis ? j’ai été complètement séduite par ce roman qui oscille entre rêve et réalité. J’ai aimé l’idée tout d’abord que les vieux objets ont une histoire à raconter. L’histoire de Louise Brunet se raconte aussi bien à travers ses lettres que les objets qui sont parvenus à Trevor et ça c’est vraiment une idée intéressante. Des ciseaux racontent la mort de son frère et l’inceste avec son père; des gants racontent une première communion, une petite pièce du siècle précédent la naissance du fils tant attendu. Le deuxième point intéressant dans ce roman, et qui m’a énormément plu, c’est les lettres. Les lettres comme objets du passé propre à raconter une histoire, celle de Louise et de son cousin, Camille entre autre mais aussi les lettres que Trevor Stratton envoie à un destinataire inconnu au fur et à mesure de ses découvertes. J’ai adoré cette façon de raconter l’histoire. On est bien en face de ce que la critique appellerait un roman épistolaire. Je ne vous raconterai pas tout mais j’ai été à la fois surprise et enchantée quand la révélation de l’identité du Monsieur à qui Trevor écrit se fait. Enfin, le roman mêle aussi agréablement onirisme, fantastique et réalité. Finalement est-ce que Trevor rêve la vie de Louise ? Est-ce les objets qui la lui racontent ? Tout le long du roman, la frontière est bien mince entre le rêve et la réalité, entre le fantastique et le réalisme. Et ça aussi, ça m’a bien plu. Dernier point qui m’a rendu la lecture de ce roman plus qu’agréable, c’est la personnalité de Louise Brunet. Elena Mauli Shapiro nous dépeint une femme espiègle, féministe avant l’heure, qui s’ennuie dans son rôle d’épouse et n’hésite pas à l’occasion à blasphémer. Bref c’est un personnage tout à fait attachant que l’on quitte avec un peu de peine quand vient l’heure de tourner la dernière page.

Au final, je crois que je n’ai plu qu’à vous recommander ce roman et à remercier Livr@ddict et les éditions Michel Lafon pour cette jolie découverte. :)

La quatrième de couverture : Trevor, un professeur américain qui vient d’emménager à Paris, découvre dans son bureau une vieille boîte remplie de lettres d’amour, de photos jaunies, et de souvenirs : des gants, des pièces de monnaie, un mouchoir en dentelle… Tous racontent la vie de Louise Brunet, une Française ayant vécu au 13, rue Thérèse pendant la Grande Guerre.
L’universitaire commence à reconstituer l’histoire de la jeune femme : son amour indomptable pour son cousin mort au combat, son mariage de convenance avec un homme travaillant pour son père, et sa liaison avec un voisin. Mais alors que Trevor tombe peu à peu amoureux de la charmante et fougueuse Louise, une autre Française, bien vivante celle-là, compte bien le séduire et le garder près d’elle.
Le temps passe, la passion demeure.

Prochaine lecture : Une place à prendre de J.K Rowling

Quatre filles et un jean (tome 1) d’Ann Brashares

Posted in Lecture
on 28 octobre 2012

Il y a quelques semaines, j’ai vu passer sur livre addict une proposition de lecture commune pour le premier tome de la saga d’Ann Brashares, Quatre filles et un jean. Depuis le temps que j’entendais parler de ce livre, je me suis laissée tenter et me suis inscrite. Aujourd’hui, c’est le jour pour rendre sa copie. Et oui pour une lecture commune, les participants lisent le livre et publie une chronique sur leur blog respectif à une date donné, tous ensemble.

Mais revenons-en à Quatre filles et un jean. L’histoire commence au début de l’été, l’école est fini et chacun s’apprête à partir en vacances. Elles sont quatre copines, amies depuis toujours. Il y a Léna, la belle et timide Léna, Carmen, la portoricaine, Bridget la sportive et Tibby. Elles sont inséparables et pourtant cet été-là, elles vont le passer loin les unes des autres. Lena part en Grèce chez ses grands-parents; Carmen chez son père sur le point de se remarier; Bridget dans un camp d’entrainement pour sportifs au Mexique et Tibby chez elle à travailler au supermarché du coin. Pour que chacune vive un peu ce que ces copines vivent, elles vont porter à tour de rôle un même jean. Ce jean, c’est Carmen qui l’a acheté un beau jour dans un magasin de fripes et fait extraordinaire, il va à la perfection à chacune. Le jean magique va être le trait d’union entre les quatre copines durant tout un été où chacune va vivre des aventures différentes.

Alors mon avis ? J’ai bien aimé dans l’ensemble. Certes c’est un roman qui plaira mieux aux adolescents qu’aux adultes mais bon ça se lit très facilement. Les personnages sont attachants, le style d’écriture est fluide. J’ai bien aimé le système de lettres que s’écrivent les quatre filles et qui permet de passer de l’une à l’autre en douceur. A part ça, l’histoire n’est pas d’une grande originalité puisque l’on va suivre les premiers émois amoureux de deux des filles, la naissance d’une amitié pour la troisième et les problèmes familiaux de la quatrième. Mais bon dans l’ensemble c’est un bon petit roman à mettre entre toutes les mains, petites ou grandes :)

La quatrième de couverture : Au coeur d’un été inoubliable, une histoire où se mêlent les voix de quatre adolescentes, Carmen, Tibby, Bridget et Lena, amies depuis toujours. De surprises en émotions, de rires en larmes, elles font l’apprentissage de la vie!

Prochaine lecture : Une place à prendre de J.K. Rowling

Doris Darling

Posted in Au théatre ce soir
on 26 octobre 2012

Je suis allée il y a quelques temps déjà voir Doris Darling au théâtre du petit Saint-Martin et shame on me j’en avais pas encore parlé. Alors que la pièce est géniale, que Marianne Sergent qui tient le rôle principal est splendide. Bref no comment :)

Le rideau se lève alors que Doris Wallis, chroniqueuse dans la presse people anglaise se prépare pour se rendre au tribunal où l’attend un procès en diffamation intenté par une jeune actrice victime de sa plume assassine. Mais Doris n’en a cure. Sa seule préoccupation à l’heure actuelle est son projet d’émission télé. Alors qu’elle expose ses projets à l’un de ses amis imprésario, ce dernier tente de lui faire signer un nouveau contrat pour un journal allemand. Mais est-il réellement son ami ? C’est ce que découvrira Doris au terme de cette journée un peu folle où rien ne se déroulera comme prévu. Mais je n’en dit pas plus pour ne pas gâcher la surprise.

C’est totalement déjanté, complétement loufoque et tellement jubilatoire!!! Doris Wallis est une bitch. Je la situerai bien entre Cruella (ça doit être à cause du manteau) et Anna Wintour ( vous savez le diable s’habille en Prada). D’ailleurs je sais pas si c’est fait exprès mais tout rappelle l’univers des rédactrices de mode du roman, le manteau de fourrure, les lunettes, l’assistante qu’elle martyrise. Et pourtant cette langue de vipère, on ne peut pas la détester, non vraiment pas.

Et puis le jeu des acteurs est fabuleux. Que ce soit Marianne sergent qui interprète Doris Wallis ou Amélie Etasse, l’assistante effacée de Doris, Thierry Lopez, Eric Prat ou encore François Siener. Ils donnent à la pièce un rythme complétement fou.

Enfin, mention spéciale au décor et à l’usage de la vidéo. Là ça s’intègre à merveille.

Bref, ça fait deux fois que je vais au théâtre depuis la rentrée et deux fois que je fais bonne pioche :) Si vous avez l’occasion, n’hésitez pas Foncez-y!!!!

C’est où ?

Doris Darling

Théâtre du Petit Saint Martin
17 rue René Boulanger,
75010 Paris