Une place à prendre de J.K. Rowling

Posted in Lecture
on 18 novembre 2012

J’ai reçu dans le cadre du match de la rentrée littéraire organisé par Priceminister, Une place à prendre de J.K. Rowling et j’en ai été ravie car ce roman, j’attendais avec impatience de pouvoir le lire. Pourquoi ? parce que c’est le nouveau roman de J.K. Rowling pardi! Si ce nom ne vous dit rien, il va falloir revisser vos classiques puisque c’est l’auteur de la saga Harry Potter. Là, l’auteur de roman pour enfants change complètement de registre et signe son premier roman pour adultes. Exit donc les sorciers et le quidditch. L’histoire débute un soir de novembre dans la petite ville de Pagford. Barry Fairbrother, conseiller paroissial, s’apprête à emmener sa femme Mary diner au restaurant pour fêter leur anniversaire de mariage. Mais voilà que Barry s’effondre sur le parking du restaurant victime d’une rupture d’anévrisme. Il laisse derrière lui une veuve éplorée, une équipe d’aviron sans coach et surtout un siège vide au conseil paroissial. Va s’en suivre une lutte acharnée pour sa succession. Qui de Simon Price, de Colin Wall ou de Miles Molisson prendra le siège tant convoité ? Le décès de Barry et la course à sa succession va réveiller dans la bourgade de vieilles rancœurs et les ragots, les mesquineries vont aller bon train.

Mon avis ? Dans l’ensemble, j’ai bien aimé ce roman même si je le trouve assez inégal. J’ai mis un peu de temps à rentrer dans l’histoire. A un moment, je me suis dit c’est parti et puis non mon intérêt est retombé comme un soufflet deux cents pages plus loin. J’ai eu alors un peu de mal à avancer car il ne se passait pas grand chose. Puis finalement c’est reparti et j’ai dévoré les 150 dernières pages hier soir dans mon lit. A côté de ça, moi, le grand nombre de personnages ne m’a pas gêné. J.K. Rowling présente chacun des principaux protagonistes très vite et quand on a un tant soit peu, l’habitude des grandes sagas familiales comme les Rougon-Macquart ou Les Thibault, on s’y retrouve sans mal. Et ça vaut mieux car chaque personnage entretient un lien direct ou indirect avec les autres protagonistes du roman. Leur histoire à chacun est intimement liés à celles des autres. J’ai trouvé que les caractères étaient bien fouillés. Il n’y a pas de personnages vraiment méchants ou de vraiment gentils, ce n’est pas un roman ou d’un côté il y a les gentils de l’autre les méchants. Chacun, mis à part Obbo le Caïd du coin, entretient une dualité que l’auteur sait rendre à merveille, ni tout blanc, ni tout noir. On est bien en face d’un roman de mœurs. L’espace de quelques mois, on vit au rythme de Pagford, de ses commérages, des rancunes qui opposent les habitants les uns aux autres. J’ai aimé la façon dont on glisse d’un personnage à l’autre, en douceur avec beaucoup de naturel. Car dans ce roman, il n’y a pas un personnage principal mais une vingtaine et l’on va de l’un à l’autre sans arrêt. Enfin ce qui m’a frappé dans ce roman, c’est que c’est très visuel, c’est comme si on visionnait un téléfilm. J’ai vraiment pu imaginer les rues de Pagford ou de la cité des Champs; je n’ai eu aucun mal à me représenter très concrètement Howard Mollison, Maureen ou encore la jeune Krystal Weedon.

Bref pour moi, ce n’est pas un coup de cœur mais néanmoins une jolie découverte. J’ai pas regretté d’avoir choisi de chroniquer ce roman plutôt qu’un autre, il vaut vraiment le coup malgré tout ce que j’ai pu lire à ce sujet.

Ma note : 15/20

La quatrième de couverture : Bienvenue à Pagford, petite bourgade anglaise paisible et charmante : ses maisons cossues, son ancienne abbaye, sa place de marché pittoresque… et son lourd fardeau de secrets. Car derrière cette façade idyllique, Pagford est en proie aux tourmentes les plus violentes, et les conflits font rage sur tous les fronts, à la faveur de la mort soudaine de son plus éminent notable. Entre nantis et pauvres, enfants et parents, maris et femmes, ce sont des années de rancunes, de rancœurs, de haines et de mensonges, jusqu’alors soigneusement dissimulés, qui vont éclater au grand jour et, à l’occasion d’une élection municipale en apparence anodine, faire basculer Pagford dans la tragédie. Attendue de tous, J.K. Rowling revient là où on ne l’attendait pas et signe, avec ce premier roman destiné à un public adulte, une fresque féroce et audacieuse, teintée d’humour noir et mettant en scène les grandes questions de notre temps.

Prochaine lecture : 12:21 de Dustin Thomason

Au Poivre du Szechuan, c’est beurk!

Posted in Un resto à Paris ?
on 16 novembre 2012

Bon je crois que mon titre est explicite. Si votre route croise le Poivre du Szechuan dans le 11ème arrondissement de Paris, fuyez! J’ai testé il y a peu et je n’ai pas mangé aussi mal depuis très longtemps. Pourtant sur le papier ce restaurant chinois avait tout bon puisqu’il proposait à nos papilles d’occidentaux de découvrir la cuisine du Sichan. Au menu donc, on pouvait trouver une salade d’algues, vinaigre gris et sauce piquante, du porc sauté à la sauce Yu Xiang ou encore du poulet sauté aux piments szechuannais.

Sur le papier, tout ça avait l’air bon et nous nous sommes laissé tenter après quelques hésitations par des nems au porc en entrée :

Bientôt suivis par un poulet sauté aux piments szechuannais accompagné de riz :

Et là c’est proprement immangeable. Du poulet dans l’assiette, il n’y a que les ailes avec os et peau. Pas de chair, rien que des morceaux proprement immangeables. Le tout pour 9,80 euros.

Je vous passe les détails aussi sur le service déplorable. Les plats nous ont été amenés alors que les assiettes de l’entrée n’avaient pas été débarrassées. Bref no comment!

Autant vous dire que le poivre de Schechuan à illico finit dans ma liste de restaurants à fuir!! Car ce qu’ils servent est proprement honteux!!

Côté tarif, et bien c’est très cher pour un plat qui était même pas bon à donner aux chiens. Il faut en effet débourser cinq euros pour les nems et 9,80 pour le poulet sauté.

C’est où ?

Au Poivre du Szechuan

13, rue Louis Bonnet

75011 Paris

Concours : 5×2 places à gagner pour Populaire avec Romain Duris

Posted in Ciné, cinéma, Concours
on 12 novembre 2012

Vous savez que vous êtes de petits veinards car j’ai encore une fois la possibilité de vous gâter en vous offrant des places de ciné. Oui, oui :) Cette fois, on change de registre puisque je vais vous proposer de gagner des places pour Populaire le premier film de Régis Roinsard avec le beau Romain Duris.

Le synopsis ? Printemps 1958. Rose Pamphyle, 21 ans, vit avec son père, veuf bourru qui tient le bazar d’un petit village normand. Elle doit épouser le fils du garagiste et est promise au destin d’une femme au foyer docile et appliquée. Mais Rose ne veut pas de cette vie. Elle part pour Lisieux où Louis Echard, 36 ans, patron charismatique d’un cabinet d’assurance, cherche une secrétaire. L’entretien d’embauche est un fiasco. Mais Rose a un don : elle tape à la machine à écrire à une vitesse vertigineuse. La jeune femme réveille malgré elle le sportif ambitieux qui sommeille en Louis… Si elle veut le poste, elle devra participer à des concours de vitesse dactylographique. Qu’importent les sacrifices qu’elle devra faire pour arriver au sommet, il s’improvise entraîneur et décrète qu’il fera d’elle la fille la plus rapide du pays, voire du monde ! Et l’amour du sport ne fait pas forcément bon ménage avec l’amour tout court…

Je dois bien avoué qu’à la lecture du synopsis et au visionnage de la bande annonce, moi je me suis dit pourquoi pas :) J’ai donc 5×2 places valables dans toute la France dans tous les cinémas à vous faire gagner. Pour cela rien de plus simple puisqu’il suffit de me laisser un commentaire en m’indiquant que vous participer.

Vous avez jusqu’au 28 novembre 2012 minuit. Je ferai un tirage au sort parmi toutes les participations pour déterminer les 5 gagnant(e)s et annoncerai les résultats sur le blog et sur la fan page du blog le lendemain.

Bonne chance à tous Smile

Skirting the issue by Essie

Posted in Vernis
on 11 novembre 2012

Ce week-end, ma collection de vernis s’est agrandie et pas qu’un peu :) 12 nouveaux pensionnaires ont pris place dans ma boite à vernis déjà bien garnie. Douze oui vous avez bien lu mais à ma décharge Monoprix fait une promotion de 50% sur certaines teintes de la marque. A cela s’est ajouté le fait que samedi avec la carte de fidélité, on gagnait encore 15% et bingo, le vernis Essie passait à 5,05 euros très précisément. Vu sous cet angle j’ai fait trois Monop’ dans la journée pour agrandir ma collection :)

Et j’ai fait bingo puisque j’ai trouvé une partie de la collection de l’été dernier, Bikini so teeny et celle de cet automne Stylemonics. Possédant déjà Recessionista et Miss fancy pants et désirant comme je le disais ici, avoir Skirting the issue, j’ai été plus que ravie quand je suis tombée dessus. Pour la peine j’ai même embarque Stylemonics, le vert qui donne son nom à la collection et Don’t sweater it.

Je me suis empressée aujourd’hui de tester Skirting the issue. Bon bah vous n’en verrez pas guère plus que le flacon car c’est la cata.

C’est dommage car la couleur est superbe. Il n’est pas aussi rouge que sur la photo ci-dessous, c’est plutôt un joli bordeaux sur les ongles en lumière naturelle.

Côté couvrance, ce n’est pas le mieux. Là j’ai fait deux couches plus top coat mais je pense que j’aurai dû en faire trois ça aurait été plus joli. Je n’aime pas quand on voit à travers comme là!

Côté application et bah c’est la cata! J’ai fait deux tentatives aujourd’hui et j’ai pas réussi à le poser correctement. Bon le pinceau extra large n’est pas en cause, avec lui c’est toujours aussi facile. Non c’est plutôt la texture qui est bizarre. Ça fait pâteux et il se barre vite fait même en attendant longtemps, très longtemps sans bouger pour ne pas l’écailler tout de suite. La loose quoi! Non parce que là je l’ai posé il y a à peine quatre heures et c’est tellement cracra que je ne passerai pas la nuit avec :(

Bon après je ne m’avoue pas vaincue et je finirai bien par dompter la bête ne serait-ce que parce que la couleur me plait énormément.

Et pour vous des soucis pour le poser celui-là ?

PS : pour celles que ça intéresse, les -50% c’est jusqu’au 18 novembre dans la limite des stocks dispo.

PS2 : pour celles qui se demandent sur lesquels j’ai bien pu craquer, sachez qu’il y a dans le lot le bleu lavande Bikiny so teeny, le rose vendu en faveur de la lutte contre le cancer du sein, We’re in together, du beige rosé, All tied up, un autre rose, cascade cool, le violet, To buy or not to buy, les métallisés, Blue rhapsody, No place like chromee et Nothing else metals