La famille Fang de Kevin Wilson

Posted in Lecture
on 21 juin 2013

La famille FangIl faut que je vous dise : je viens de terminer La Famille Fang de Kevin Wilson. Ce roman raconte une histoire étrange si vous voulez tout savoir. Les Fang sont une famille d’artistes. Il y Caleb, le père, Camille la mère et Annie, leur fille dite aussi enfant A et Buster, leur fils dit enfant B. Leur spécialité ? créer des happenings, faire naitre le chaos et jaillir de l’art de situation ordinaire. Mais voilà si les Fang ont réalisé longtemps leurs performances à quatre. Aujourd’hui, les enfants ont grandi et se sont émancipés (ou du moins ont ils tentés). Annie est devenue une actrice de seconde zone qu’un scandale ramène bien vite à la maison et Buster, un écrivain raté vivant de piges pour divers magazines. Mais voilà que sur un reportage, Buster est gravement blessé au visage. Sans le sous, sans travail, cribler de dette, il décide aussi de rentrer chez ses parents. C’est le moment que choisissent Caleb et Camille pour disparaitre. Enlèvement ? Meurtre ? ou tout simplement nouvelle prestation artistique des deux artistes, c’est ce que Annie et Buster vont tenter de découvrir en se lançant à leur poursuite.

Quand on m’a proposé de le recevoir, je ne savais pas à quoi m’en tenir. Après en avoir lu quelques pages, j’ai vraiment été déconcertée par cette famille. Je dois dire que créer de l’art à partir de situation de la vie quotidienne, dans des centres commerciaux, c’est pas banal!! J’ai bien aimé le fait que l’auteur intercale dans l’histoire présente des chapitres racontant certains happenings de la famille comme des demandes en mariage farfelues en plein vol, des vols à l’étalage dans les magasins, des mariages à répétition, un concours de mini miss où c’est leur fils qui participe au milieu des autres petites filles… Après est ce que j’ai aimé ou pas ? Bah je sais pas vraiment. C’est déroutant, pas forcement drôle même plutôt pas. Personnellement j’ai eu du mal à rentrer dedans et j’ai eu du mal à aller jusqu’au bout. Non pas que ce soit mal écrit. C’est même plutôt le contraire. C’est plutôt que la réflexion notamment sur le rôle de l’ambition des parents dans la construction de la personnalité d’un enfant n’est pas assez poussée à mon gout. Même les réflexions sur l’art, sur qu’est ce que l’art, d’où nait-il, de quoi se nourrit il ne sont pas assez fouillées. Bref petite déception pour ma part avec ce roman.

La quatrième de couverture : Entraînés malgré eux dans les performances et autres happenings de Caleb et Camille Fang, leurs parents, dont l’ambition est de faire de leur propre vie une œuvre d’art, Annie – surnommée « Enfant A » – et Buster – « Enfant B » –, n’ont jamais connu les joies de la normalité. Arrivés à l’âge adulte, ils comprennent que le chaos dans lequel ils ont grandi les a rendus pour le moins inadaptés à la société et au monde réel. Tandis qu’ils essaient tant bien que mal de réaliser leurs projets personnels et de trouver une forme d’équilibre, ils sont, une fois, de plus happés par la folie créatrice des deux artistes, qui, pour couronner leur carrière, ont imaginé une mise en scène dépassant de loin toutes les précédentes.
Dans cette comédie tour à tour grinçante et émouvante, Kevin Wilson brosse un tableau au vitriol du milieu de l’art doublé d’une réflexion amère sur les effets qu’ont les ambitions démesurées des parents sur leurs enfants.

Prochaine lecture : Fais de beaux rêves mon enfant de Massimo Gramellini

Too Faced loves Sephora

Posted in Make up
on 18 juin 2013

Quand Too Faced décide de célébrer quinze ans de collaboration avec Séphora, ça donne une jolie palette aux couleurs des deux marque : blanc et noir pour Séphora, rose pour Too Faced. Grande fan de Too Faced, je ne pouvais manquer de me procurer ce coffret :)

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Cette fois, Too Faced nous propose une palette très complète dans une joli boite métallique. On trouve en effet deux bronzers, un blush, 1 Shadow Insurance taille mini et surtout 10 fards à paupières complétement inédits, chacun nommé après des moments clés, personnes ou souvenirs de Sephora et Too Faced.  On a ainsi Piano Keys (un beige), behind the counter (un brun), So call (un rose pale), Soho (un violine), If love’s the cast, Envy (un violet), Jer Jer (un miel), David et Marg (un bleu lagon), 525 Market et 1998 (un joli rose pailleté).

too faced loves sephora

Comme toujours avec Too faced, les fards sont vraiment bien pigmentés que ce soit les nudes de la ligne du haut ou ceux plus colorés de celle du bas. Il suffit de regarder les photos des swatches ci dessous pour s’en convaincre. Il n’y a que Piano Keys que l’on distingue à peine à gauche sur la photo.

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Too faced loves sephora - swatches (2)

Pour accompagner tout ça, les make-up artistes de la marque ont créé 15 looks présentés dans des fiches réunies un éventail. Je n’essaierais probablement jamais tous les looks proposés mais j’apprécie l’effort que fait chaque fois la marque pour guider ces clientes dans l’utilisation de leurs palettes. Habituellement on a trois cartes, là carrément quinze pour le jour ou le soir.

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Que dire de plus sinon que j’adore ce coffret :)  Il n’y a que le bronzer chocolat qui risque d’être trop foncé pour ma carnation de bidet et dont je risque de ne pas me servir souvent. Le reste trone déjà en bonne place dans ma salle de bain :)

Pour info, la palette Too faced loves Séphora est vendu 45 euros en exclusivité chez Séphora bien sur.

Et vous, vous pensez craquer ?

Cet été, je fais un Scandale sur la plage

Posted in Dans mon dressing
on 17 juin 2013

Vous vous en souvenez peut être mais en février dernier, j’étais allée à la rencontre de la marque Scandale lors du salon de la lingerie à Paris. Et sur leur stand, gros coup de cœur pour les ensembles de lingerie rétro certes mais aussi gros, gros crush pour un maillot de bain de la collection Les Aquatiques. J’ai en effet complétement craqué ce jour là pour le maillot rétro une pièce rouge joliment baptisé Mirage. Du coup, j’ai été ravie quand j’ai reçu quelques temps plus tard un mail de la marque me proposant de me l’offrir pour jouer les naïades à la plage cet été.

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Pourquoi ai-je autant craqué ? Parce que ce maillot est tout à la fois glamour et rétro. Parce que tous est pensé pour galber la silhouette et la mettre en valeur.

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Perso le premier truc que j’ai remarqué, c’est les petits plis au niveau du bonnet. Ensuite j’ai adoré les fronces au niveau du buste. Le truc qui m’a aussi beaucoup plu, c’est l’espèce de jupette qui constitue le bas du maillot.

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J’ai aussi beaucoup aimé le fait qu’il puisse se porter en bustier avec un short en ville, avec les bretelles droites, croisées dans le dos ou encore nouées autour du cou.

Enfin ce rouge est absolument magnifique. Bon si vous n’aimez pas le rouge, sachez que ce maillot est disponible en 4 coloris : Rouge Scandale (le mien en l’occurrence même si sur les photos il parait plus rose que rouge), Noir Onyx, Bleu Lagon Profond et Quartz Fumé.

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maillot Scaldale Mirage

Ce qui a fini de me convaincre que c’etait mon maillot de l’été ? un tissu doux au toucher et qui apporte une protection contre les UV. En plus, il parait qu’il offre une grande résistance au chlore et aux lotions. C’est donc le parfait maillot pour la mer et la piscine :)

Si vous avez envie de vous l’offrir à votre tour, sachez qu’il est vendu au prix riquiqui de 69,90 euros.

Et vous votre maillot de l’été, il sera comment ?

Kapunka

Posted in Un resto à Paris ?
on 14 juin 2013

Grâce à un deal Groupon, j’ai testé un nouveau restaurant thaïlandais, Kapunka. Kapunka c’est un petit resto entre bourse et opéra. De prime abord, j’aurai plutôt vu là un salon de thé qu’un restaurant thaïlandais. Il faut dire que la déco avec ses chaises d’écoliers n’évoque pas vraiment la Thaïlande :) Et pourtant Kapunka est bien un resto thaï, il suffit de regarder la carte pour s’en convaincre. On y trouve en effet des curry rouge ou vert, des pad thai ou encore une salade de papaye verte., De bons petits plats thaïlandais quoi :)

En entrée, j’ai choisi des nems au poulet sauce cacahuète :

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En plat après avoir hésité un long moment avec un curry rouge, j’ai finalement opté pour un pad thaï au poulet :

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J’ai été un peu décontenance par la façon dont ils préparent le pad thaï chez Kapunka. Le soja au dessus des nouilles, froid de surcroit c’est pas top. Et puis un truc qui m’a gêné, pour de la cuisine thai, c’est vraiment pas épicé.

Enfin en dessert, j’ai pris le flan thaï à la noix de coco qui ma foi était lui vraiment sympa :

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Pour accompagner tout ça, nous avions choisi une bouteille de vin blanc. Parce chez Kapunka, si tu viens diner en amoureux, ne pense pas prendre l’apéritif pour commencer. Non, ils ne peuvent pas servir d’alcool. Si malgré tout tu choisis de commander deux verres de vin en apéro puis une bouteille pour le repas, tu risques d’avoir la désagréable surprise de voir les deux verres de vin servis sur ta bouteille. Et oui, ils ont pas de stock suffisant pour servir à la fois au verre et à la bouteille. Bref no comment.

Côté tarif, c’est pas trop cher. Pour une entrée, il faut compter trois euros. Pour le plat, là ça varie entre 7 et 11 euros selon ce que vous prenez. Enfin, le dessert est en moyenne à 3 euros aussi.  Le repas complet revient donc par personne à un peu moins de vingt euros à la carte.

Voulez mon avis ? peut mieux faire. Dans l’ensemble c’est correct mais sans plus. A choisir dans la même rue, j’irai plus volontiers chez Kao Pat qui sert une très bonne cuisine thaï pour pas cher.

C’est où ?

Kapunka

59, rue de Richelieu
75002 Paris