Ces produits que l’on envie aux américaines : les RAL Kat von D

Posted in Make up
on 5 juin 2015

Kat von D, vous en avez entendu déjà parler sur le blog. Je vous ai en effet présenter les sublimes palettes de la marque introuvable en France. C’est la loose ça!! Aujourd’hui, on va quand même regarder d’un peu pus près un autre produit de Kat von D : les rouges à lèvres. J’ai en effet réussi à me procurer un set de 9 mini rouges à lèvres il y a quelques mois déjà. Autant vous dire donc que je me suis forgée un avis :)

KAT VON D RAL

Ce kit contient des miniatures de Countess, Agatha, Adora, Sexer, Wonderchilde, Bachelorette, Motorhead, Lovecraft et Hexagram. Il ne s’agit pas d’édition spéciale mais bien de miniatures de rouges à lèvres de la marque. Ça c’est cool car ça veut dire qu’il est possible d’acheter le full size si on aime.

KAT VON D RAL (2)

Déjà le packaging est très rock. Les tubes sont noirs avec plein de picots. Ça change des packagings bien lisses, des tubes so girly. Personnellement, j’adore (ça doit être mon côté rebelle caché).

KAT VON D RAL (3)

Le premier que j’ai testé c’est Bachelorette. C’est un joli rouge-fushia mat. Franchement j’adore! C’est un de mes chouchous! Première chose, j’ai été bluffée par la tenue. je l’ai mis vers 9h30 et jusqu’à 16h30, je n’ai pas eu besoin de faire de retouche!

KAT VON D RAL (1)

J’ai testé ensuite Hexagram, le rouge brique du lot et pareil j’ai adoré. De prime abord, on pourrait penser que le raisin est dur, sec que cela ne va pas glisser sur les lèvres et bien non. L’application se fait facilement et tout en douceur.

Kat von d Hexagram, Adora, Sexer, Countess

De gauche à droite : Hexagram, Adora, Sexer, Countess

Kat von d de gauche à droite  Motorhead, Wonderchilde, Agatha, Lovecraft

De gauche à droite Motorhead, Wonderchilde, Agatha, Lovecraft

J’ai encore quelques doutes sur le fait que je puisse porter dans la vie de tous les jours le marron Motorhead et le fushia Wonderchilde (les deux premiers sur la photos des swatches ci-dessus) mais pour les autres aucun souci. Ils sont adoptés :)

La preuve, voici le beau Hexagram en action :

Kat von D Hexagram (5)

Et vous envie de tester les RAL Kat von D ? Ou plus généralement le maquillage Kat von D ?

Maman a tort de Michel Bussi

Posted in Lecture
on 3 juin 2015

Au mois de mai dernier, j’ai eu la chance de rencontrer chez Google Michel Bussi à l’occasion de la sortie de son nouveau roman Maman a tort (paru le 7 mai).

michel bussi pour maman a tort

Quelques jours avant, j’avais reçu le livre et avais pu me plonger rapidement dedans. Il faut dire que je l’attendais celui-là! L’histoire démarre sur les chapeaux de roue. Marianne Augresse est à la poursuite de dangereux braqueurs. Ils ont avec eux un petit garçon de trois ans et il faut les retrouver avant qu’ils ne réussissent à quitter le territoire. Tout a commencé quelques jours tôt : Malone, trois ans et demi, en avance pour son âge raconte au psychologue de l’école, Vasile Dragonman que sa mère n’est pas sa mère et que son doudou Gouti l’aide à se souvenir de sa vraie maman. Le psychologue convaincu que l’enfant dit vrai, va demander sur les conseils de sa maitresse l’aide de la commandante de police, Marianne Augresse. D’abord perplexe, Marianne qui enquête sur un braquage commis à Deauville un an plus tôt, finit par mettre quelques hommes sur l’affaire. Petit à petit, il apparait que l’enfant pourrait bien dire la vérité. Mais alors qui est-il ? Où est sa vraie mère ? Comment est-il arrivé là ?

maman a tort michel bussi

Mon avis ? J’ai un problème là. J’adore les romans de Michel Bussi je l’ai déjà dit. Chaque fois, je suis happée par l’histoire et je ne peux pas le lâcher. Et bien là, force est de constater que cela ne fonctionne pas aussi bien. Il m’a fallu bien plus de temps que d’habitude pour ne pas vouloir le lâcher. Bon, c’est un bon polar hein, même si je n’ai pas eu le même enthousiasme que d’habitude! Il y a plein de points positifs à commencer par la construction du roman. Maman a tort est construit cycliquement : il s’ouvre sur la scène finale avant de ramener le lecteur quatre jours en arrière et de suivre cette fois la chronologie des évènements. C’est très cinématographique comme procédé je trouve (d’ailleurs le roman s’adapterait merveilleusement bien au cinéma). C’est aussi très éculé comme technique mais ça marche. Outre cette construction, le roman alterne les points de vue y compris celui de Malone (un peu comme dans Ne lâche pas ma main, souvenez-vous, avec Sofa). C’est top parce que cela permet petit à petit de dévoiler des indices (et parfois d’égarer le lecteur aussi un peu). Mais je vous rassure, je n’avais pas deviné le pourquoi du comment de toute cette histoire. Et oui Michel Bussi réussit encore une fois le pari de tenir son lecteur en haleine jusqu’au bout et de ne rien lâcher avant la toute fin.

Après y a un truc qui m’a fait sourire : c’est les noms des personnages :) Augresse, Pasdeloup, Dragonman, Chevalier. L’auteur s’est clairement amusé. D’ailleurs lors de la rencontre, il nous avouait qu’après avoir fait Crédule Grand-duc, il pouvait tout se permettrait à ce niveau là :) Et puis ça annonce clairement la couleur. On est avec Maman a tort dans le monde de l’enfance, du rêve et des contes. Au détriment de la réalité ? Bien sûr que non :)

En bref, Maman a tort est malgré tout un bon roman et il ne faut pas bouder son plaisir. Tiens, pourquoi ne pas le glisser dans son sac de plage cet été ? C’est quelques heures de plaisir garanties :)

La quatrième de couverture : Quand Malone, du haut de ses trois ans et demi, affirme que sa maman n’est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile, psychologue scolaire, le croit. Il est le seul… Il doit agir vite. Découvrir la vérité cachée. Trouver de l’aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car déjà les souvenirs de Malone s’effacent. Ils ne tiennent plus qu’à un fil, qu’à des bouts de souvenirs, qu’aux conversations qu’il entretient avec Gouti, sa peluche. Le compte à rebours a commencé. Avant que tout bascule. Que l’engrenage se déclenche. Que les masques tombent. Qui est Malone ?

Prochaine lecture : Le collier rouge de Jean-Christophe Ruffin

Truman Capote de Liliane Kerjan

Posted in Lecture
on 1 juin 2015

Avec ma dernière lecture, on change totalement de registre. J’ai en effet lu la biographie de Truman Capote écrite par Liliane Kerjan sortie récemment aux éditions Folio et que j’ai eu la chance de recevoir dans le cadre d’un partenariat sur Livr@ddict. J’en profites d’ailleurs pour remercier l’éditeur et le site :)

9782070461479

Avant cette lecture, Truman Capote, c’était seulement l’auteur de De sang froid et de Prières exaucées. Autant vous dire que j’ignorais tout de ce maitre de la littérature américaine. J’ai appris plein de chose en lisant cette biographie de cet auteur. j’ai appris sur son enfance dans le Sud, sur sa peur de l’abandon qui ne le quittera jamais, sur son homosexualité, son amitié pour Marylin Monroe qu’il emmène danser et qu’il aurait préféré à Audrey Hepburn pour incarner l’héroïne de Petit déjeuner chez Tiffany, sur son désir de réussir à tout prix. J’ai appris sur la genèse de De sang froid, comment Truman Capote était lié aux meurtriers allant jusqu’à assister à leurs exécutions. J’ai découvert comment les prières exaucées avaient signé sa mort sociale et comment ses amis de la haute bourgeoisie lui avaient tourné le dos. Car oui, la biographie que Liliane Kerjan consacre à Truman Capote est sacrément bien documenté. Le texte est en plus ponctué par des nombreux extraits des œuvres de Capote qui viennent illustrer le propos. Ça, c’est plutôt chouette.

Mais voilà, cela ne suffit pas. Je me suis en effet ennuyée à la lecture de cette biographie. Alors certes la biographie n’est pas mon genre de prédilection, mais quand même :) C’est un très beau travail universitaire. C’est carrément le genre de livre que j’aurais pu lire dans le cadre de mes études si j’avais suivi par exemple un séminaire de littérature américaine avec les œuvres de Capote au programme. Mais à l’heure d’aujourd’hui, ce n’est plus ce que je recherche. Là l’ennui m’a gagné très rapidement et j’ai lu certains paragraphes sans vraiment les lire (traduction : c’est entrée par une, c’est sortie par l’autre). Plus d’une fois aussi j’ai perdu le fil.

En bref ce texte ravira sans aucun doute les admirateurs du « Petit T ». Pour ce qui est de celui qui souhaite simplement découvrir la vie et la personnalité de Truman Capote, ce n’est pas vers cette biographie  qu’il faudra se tourner à mon sens. Truman Capote de Liliane Kerjan est à réserver pour moi à un public d’érudits.

La quatrième de couverture : « Le cerveau peut recevoir des conseils, mais pas le cœur, et l’amour, n’ayant pas de géographie, ne connaît pas de frontières. » Truman Garcia Capote, de son vrai nom Truman Streckfus Persons (1924-1984), voulait être danseur de claquettes ou chanteur de night-club… Il devint écrivain, prolixe et déconcertant. Affirmant « je suis un anormal, les gens ne m’aiment pas », il adorait les cocktails et les feux d’artifice sur le Grand Canal à Venise et possédait une garde-robe des plus extravagantes. Il ne cessa d’éblouir, d’intriguer, de surprendre ; certains le comparèrent à Jean Cocteau, d’autres prétendirent qu’il était l’Elvis Presley des lettres américaines. Son œuvre capte l’air du temps, oblige la société contemporaine à se poser des questions. Petit déjeuner chez Tiffany et De sang-froid en sont les deux titres phares. De ce dernier, il écrit : « C’est une réussite parfaite… parce qu’il est sans style. C’est comme un verre d’eau. Mon rêve. Rien entre l’écriture et le lecteur. »

Prochaine lecture : Le collier rouge de Jean-Christophe Rufin.

OPI collection Hawaï : Go with the Lave flow

Posted in Vernis
on 31 mai 2015

Ça fait une éternité que je ne m’étais pas verni les ongles!! A un moment, j’ai cruellement manqué de temps pour le faire alors que j’en avais envie. A un autre, mes ongles n’étaient pas en état. Mais tout ça c’est du passé et j’ai ressorti mes limes, mes bases, mes top-coat et mes petits flacons colorés.

Pour cette reprise de pose de vernis, j’ai choisi de mettre un vernis de la nouvelle collection Hawaï d’OPI, Go with the Lave flow.J’ai eu bon ne pas me vernir les ongles, j’ai quand même trouvé le moyen d’acheter de nouveaux vernis. Hum, hum, no comment.

La collection Hawaï comprend 10 vernis pour tous les gouts. J’ai craqué pour deux d’entre elles : celui-ci et Just Lanai-ing Around, un joli bois de rose (vous le verrez plus tard, promis)

En attendant je vous montre Go with the Lave flow sous toutes les coutures :)

OPI Go with the Lave flow (3)

Attention, avec celui-là c’est deux couches impératives sinon il manquera cruellement d’opacité. Et puis il vaut mieux ne pas faire comme moi et le poser en lumière naturelle. Ça vous évitera de vous rendre compte le lendemain matin qu’il y a des trous disgracieux dans votre manucure. Sans compter les traces d’oreiller :)

OPI Go with the Lave flow (2)

Et puis sinon, j’adore cette couleur entre le corail et le rouille.

OPI Go with the Lave flow (1)

Et vous, vous avez craqué sur un ou plusieurs vernis de cette collection ? Allez dites-moi tout :)