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On sort ?

Le monde fantastique d’Oz

Posted in Ciné, cinéma
on 11 mars 2013

PSSTTTT!!! Venez un peu par là. Il faut que je vous parle de quelque chose. J’ai eu la chance la semaine dernière d’assister à une avant première du dernier film des studios Disney, Le monde fantastique d’Oz (OZ THE GREAT AND POWERFUL) qui sort mercredi 13 mars.

le monde fantastique d'oz affiche film

Le monde fantastique d’Oz est un film d’aventures fantastiques réalisé par Sam Raimi, qui imagine les origines du Magicien d’Oz, le célèbre personnage créé par L. Frank Baum.

Lorsque Oscar Diggs (James Franco), un magicien de cirque sans envergure à la moralité douteuse, est emporté depuis le Kansas poussiéreux jusqu’au splendide Pays d’Oz, il y voit la chance de sa vie. Fortune et gloire semblent à portée de main…  jusqu’à ce qu’il rencontre trois sorcières, Théodora (Mila Kunis), Evanora (Rachel Weisz) et Glinda (Michelle Williams), qui ne sont pas du tout convaincues qu’il soit le grand magicien dont tout le monde espère la venue. Impliqué malgré lui dans les problèmes qu’affrontent Oz et ses habitants, Oscar va devoir apprendre à différencier le bien du mal avant qu’il ne soit trop tard. Grâce à ses talents de magicien et d’illusionniste, à son ingéniosité et à une touche de sorcellerie, Oscar va se transformer et devenir non seulement le grand Magicien d’Oz, mais également un homme meilleur…

oz_the_great_and_powerful

J’ai pu voir le film mercredi dernier en 3D et j’ai été bluffée. La 3D rend vraiment le film époustouflant pour ne pas dire magique. Les images sont super belles. Et puis grâce à la 3D, le spectateur est vraiment immergé au cœur du monde d’Oz.  Que ce soit quand les fées des eaux crachent au visage d’Oscar au début du film ou quand les fleurs s’ouvrent sur son passage ou encore quand Evanora harangue ses troupes avant de donner l’assaut, j’ai vraiment eu l’impression moi aussi de me promener au pays d’Oz ou d’être un soldat à la solde des méchantes sorcières :)

Le-Monde-Fantastique-d-Oz

Après l’histoire pourra paraitre à certains banale, sans surprise, pleine de bons sentiments mais moi j’ai trouvé que cela fonctionnait plutôt bien. Bon j’ai pas vu non plus le film de Victor Fleming avec la jeune Judy Garland et du coup j’ai sans doute été moins tentée de raccrocher les wagons de cette prequelle à quelque chose de connu et apparemment de mythique. C’est vrai que ce Monde fantastique d’Oz est bourré de bons sentiments et que la morale de l’histoire est que le bien triomphe toujours sur le mal. Mais, je le répète, ça fonctionne bien et les deux heures que durent le film passe à toute vitesse. Personnellement, j’ai aimé l’humour des personnages. J’ai bien aimé qu’Oscar demande à Theodora si elle avait un balai pour se déplacer :) J’ai aimé les clins d’œil aux contes de fées de mon enfance comme Blanche Neige avec le passage de la pomme. J’ai aimé Finley, le singe volant à l’humour sarcastique. J’ai aimé la poupée de porcelaine pas si fragile que ça.

oz-witch

Bref pour moi, Le monde fantastique d’Oz est une vraiment bonne surprise.

Jappeloup

Posted in Ciné, cinéma
on 27 février 2013

1988, les jeux olympiques de Séoul. On se souvient de la disqualification de Ben Johnson pour dopage sur l’épreuve du 100m. On se souvient un peu moins que la France est repartie cette année là avec 16 médailles dont 6 en or. Parmi les médaillés d’or français, le cavalier Pierre Durand et son cheval Jappeloup. Consécration suprême pour ce couple qui monte enfin sur la plus haute marche du podium en remportant le concours de saut d’obstacles en individuel.

Pourquoi je vous raconte ça aujourd’hui ? Parce que dans quelques jours (le 13 mars pour être précise) sort en salle un film retraçant librement la carrière de Pierre Durand et de Jappeloup, de leur rencontre jusqu’au JO de Séoul justement, intitulé sobrement Jappeloup.

jappeloup affiche

Synopsis : Au début des années 80, abandonnant une carrière d’avocat prometteuse, Pierre Durand (Guillaume Canet) se consacre corps et âme à sa passion, le saut d’obstacle. Soutenu par son père, il mise tout sur un jeune cheval auquel personne ne croit vraiment : Jappeloup. Trop petit, trop caractériel, trop imprévisible, il a de nombreux défauts mais une détente et des aptitudes remarquables. De compétition en compétition, le duo progresse et s’impose dans le monde de l’équitation. Mais les JO de Los Angeles sont un terrible échec et Pierre prend alors conscience de ses faiblesses. Avec l’aide de Nadia (Marina Hands), sa femme, et de Raphaëlle (Lou de Laâge), la groom du cheval, Pierre va regagner la confiance de Jappeloup et construire une relation qui va les mener aux JO de Séoul en 1988.

Ce film dès que j’en ai entendu parler, j’ai su que je voulais le voir. Quand on m’a invité à une projection privée, j’ai bouleversé quelque peu mon emploi du temps pour y aller et je n’ai pas regretté :) Pourquoi ? Parce que ça parle de chevaux, de concours, de complicité avec l’animal, de choix de vie aussi. Même si on sait ce qui va arriver, le réalisateur arrive à maintenir tout au long du film une intensité dramatique extraordinaire. Lors des JO de Los Angeles, on sait que Pierre Durand va chuter et pourtant on espère que non. Pareil au retour des JO, on sait bien qu’il ne vendra pas Jappeloup aux américains et pourtant on tremble à l’idée que le cheval parte aux États-Unis. Jusqu’à la fin où Pierre à l’issue de son parcours lève sa bombe et où l’on aperçoit dans le fond une photo de son père, l’émotion est là présente.L’émotion est palpable aussi tout au long du film grâce notamment aux plans aériens des stades. Les images de ce film sont très belles, tous les plans avec les chevaux donnent envie de se mettre en selle et de partir au galop. Visuellement donc Jappeloup est très réussi.

Après bien que le film s’intitule Jappeloup du nom de ce petit cheval d’exception, c’est avant tout l’histoire de Pierre Durand (incarné dans le film par Guillaume Canet dont l’histoire personnel rejaillit beaucoup sur son personnage). C’est l’histoire d’un homme confronté à ses choix, ses doutes, ses angoisses. Là aussi, il y a pas mal de moments forts dans le film.

Bref, personnellement j’ai adoré. Que vous soyez amateur de chevaux et d’équitation ou pas, je ne peux que vous conseiller d’aller voir Jappeloup le 13 mars :)

Roy, le roi du sandwich chaud ?

Posted in Manger sur le pouce
on 22 février 2013

Depuis que j’ai changé de job l’automne dernier, je n’ai plus de cantine. Alors le midi pour déjeuner soit j’amène mon repas soit je sors acheter sandwich ou plat préparé. C’est comme ça qu’un midi en allant me balader passage du havre, j’ai décidé de testé Roy et ses sandwiches chauds à toute heure. Oui j’en avais marre du panini trop cuit de la boulangerie d’à côté.

Roy sandwich chaud

Roy sandwich chaud

Après avoir détaillé quelques instants la liste de sandwiches de l’enseigne, je me décide pour un Magnus. Parmi les 12 sandwichs proposés,  c’est le sandwich au thon, tomates et oignons si vous vous posez la question. Pour finir sur une note sucrée comme à mon habitude, j’ai pris aussi un financier à la framboise. Enfin pour faire couler si le besoin s’en faisait sentir, j’ai commandé une petite bouteille de Badoit. Au total, j’en ai eu pour 8 euros.

Quelques minutes plus tard, me voilà partie avec mon déjeuner dans un sac en papier où la vendeuse a noté ma commande :)

Je commence par le sandwich au thon : il est rond, ça change des demi baguettes tout en longueur habituelles.  Par contre comme dans certaines boulangeries, il est pas spécialement bien garni. J’ai soulevé le pain et je dois bien reconnaitre qu’il y a pas grand chose dedans. C’est un peu la déception de ce côté-là. L’ensemble est bon. J’ai réussi à finir. Et malgré tout je n’ai pas eu faim dans la journée :)

Roy sandwich chaud

Est ce que j’y retourne ? oui pour le choix de sandwiches différents des autres. Oui pour le prix car c’est pas plus cher qu’une formule à la brioche doré. Oui parce que c’est frais et préparé à la demande (mon sandwich m’a été préparé devant moi). Et oui encore parce que les viennoiseries sont vraiment bonnes.

C’est où ?

Roy

Passage du havre

107, rue Saint-Lazare

75009 Paris

Un pique-nique chic au 58 Tour Eiffel

Posted in Un resto à Paris ?
on 19 février 2013

L’autre jour, j’ai fait une expérience assez particulière : je suis allée manger à la Tour Eiffel. Non pas au restaurant étoilé du deuxième étage, le Jules Verne mais juste en dessous au premier à la brasserie le 58 Tour Eiffel. J’avais en effet deux tickets gentiment offerts par des amis pour le pique-nique chic du 58 Tour Eiffel. Le concept ? Proposer un pique-nique à table.

A peine arrivée au 58 Tour Eiffel, une hôtesse nous place à une table près de la vitre. Nous embrassons le pont d’Iena et les jardins du Trocadéro. Dommage que ce jour là, il ne fasse pas grand soleil :)

Une fois installés, nous voilà à regarder le menu en détail. Premier constat, il y a peu de choix pour les entrées, plats ou desserts. A peine trois choix à chaque fois et ça ne met pas forcement l’eau à la bouche je dois dire.

Pour moi, ce sera mozzarella et légumes confits câpres et olives puis tortiglioni aux lardons sauce parmesan suivi pour terminer par un Crousti Eiffel au chocolat praliné. La commande prise, nous patientons quelques minutes avant de voir arriver les entrées et le pain dans un sac en papier. On s’apprête à commencer quand surprise, les plats nous sont amenés immédiatement. Chic alors, on va manger froid! Bon le serveur nous explique que c’est le concept mais que si c’etait froid, il pouvait faire réchauffer le plat à notre convenance.

pique-nique chic au 58 Tour Eiffel

pique-nique chic au 58 Tour Eiffel

Au final, je dois dire que j’ai trouvé ça vraiment bof. La cuisine ne fait pas frémir les papilles. On s’est sustenté, c’est tout.

Alors on y va pourquoi ? Et bien tout d’abord pour la vue imprenable pendant le repas. Pensez à demander une table en bordure de baie vitrée sinon ça vaut pas le coup. En second lieu, on y va pour la dame de fer. C’est quand même le monument le plus visité au monde. Bon avec votre réservation est inclus le billet d’entrée jusqu’au 1er étage seulement mais cela suffit déjà à se faire une idée. Enfin on y va pour pouvoir craner avec ses collègues le lundi matin autour de la machine à café. Quoi de mieux pour vous rendre intéressant que de lancer un « devine un peu où nous avons déjeuner dimanche! Non ? A la Tout Eiffel. Pas au pied, hein au restaurant du premier étage ».

Côté tarif, ce petit snobisme vous coutera 38,60 euros pour le menu 3 plats (boisson incluse).

C’est où ?

Tour Eiffel
Champ de Mars
75007 PARIS
Métro : Ecole Militaire ou Trocadéro