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Lecture

Quoi de neuf dans ma PAL ? (bis repetita)

Posted in Lecture
on 30 août 2014

Ça fait longtemps que je ne vous ai pas montré les derniers livres qui sont entrés dans ma bibliothèque. Il faut dire qu’en ce moment j’évite un peu d’aller me perdre à la FNAC, budget serré oblige. Heureusement, il y aussi de gentils attachés de presse qui me gâte et gonflent ma PAL pour mon plus grand bonheur. Un grand merci! (et surtout de vous arrêtez pas :) ). Du coup dans ce qui suit, il y a des achats (petits les achats) et des services de presse.

PAL aout 2014

On a donc :

  • La belle et la bête de Madame Leprince de Beaumont
  • La belle et la bête de Madame de Villeneuve. Me procurer le conte m’obsédait depuis que j’ai vu le film avec Léa Seydoux et Vincent Cassel en février dernier. Voilà j’ai acheté les deux versions. Il ne me reste qu’à les lire :)
  • Widdershins de Ari Marmell
  • Les illusions adolescentes par Adel Deco
  • La femme abandonnée d’Honoré de Balzac. L’un de mes auteurs préférés. Quand je pense que je n’ai jamais chroniqué un seul de ses romans sur ce blog!
  • La mort d’Olivier Bécaille d’Emile Zola. Celui-là, il fera parfaitement l’affaire pour la lettre Z de mon challenge ABC si je suis un peu en panne d’inspiration.
  • L’enfant multiple d’Andrée Chedid
  • Le blé en herbe de Colette. je crois bien que je n’ai jamais rien lu de cette auteur. Shame on me! Mais je vais réparer ça très vite maintenant :)
  • Le diable amoureux de Jacques Cazotte
  • Un sentiment plus fort que la peur de Marc Levy. Ça faisait longtemps tiens que je n’avais pas lu un Marc Levy. Dans celui-ci, on retrouve Andrew Stilman dont on avait suivi les aventures dans Si c’était à refaire.

Et vous, vous lisez quoi en ce moment ?

Trouble[s] de Florian Lafani et Gautier Renault

Posted in Lecture
on 25 août 2014

trouble[s]J’ai gagné au début de l’été un exemplaire du roman Trouble[s] de Florian Lafani et Gautier Renault qui venait de paraitre au Livre de poche. Il faut savoir que ce roman, avant de paraitre en format papier est paru en version numérique sous forme d’épisodes. Vous savez comme les feuilletons qui paraissaient dans les journaux il fut un temps. Intriguée, j’ai décidé de le mettre sur ma liste de livres à lire cet été. Aussitôt fini le précédent, je me suis plongée dedans.

Trouble[s] raconte une prise d’otages d’un genre nouveau. Un beau jour, Ton Laughton, un social média manager dans une agence de Londres remarque le statut d’Erasmus, un de ses amis. Ce dernier appelle au secours sur Facebook et invite à devenir ami avec un mystérieux personnage  Alban M. Tom se connecte et découvre avec stupeur que son ami a été kidnappé avec d’autres personnes. le mystérieux preneur d’otages organise alors un drôle de jeu afin de sauver ou au contraire de condamner l’un des otages. Le public vote pour son otage préféré et celui qui aura recueilli le moins de vote sera abattu. Un premier puis un second otage est abattu en direct. Pendant ce temps-là, les services de renseignement spécialisé dans le web mené par l’inspectrice Clara Capland tentent de trouver le ravisseur et les otages.

Mon avis ? Ça ne fonctionne pas du tout mais alors pas du tout!! Si l’idée de départ pouvait sembler bonne, à aucun moment ça ne décolle. C’est poussif, je me suis limite ennuyée avec cette lecture. En effet ça met beaucoup de temps à se mettre en place. Et puis quand on commence à voir des hypothèses se dessiner, il est trop tard. Le roman a trouvé un épilogue. Les quelques pistes évoquées au cours de l’intrigue ne sont pas suivies. Ainsi à un moment, un lien est évoqué avec le Japon mais cette piste ne va pas plus loin. Pareil pendant plusieurs chapitres, on suit Georges, un New-yorkais victime de Burn-out et émigré en Australie. Il découvre le ranch où les otages sont retenus. Et patatras, ça ne va pas plus loin,. On n’en entendra plus parler par la suite. OK mais alors pourquoi avoir introduit ce personnage ? Pareil avec la tentative de fuite de quatre des otages. On les suit un temps puis plus rien. On en retrouvera un sur les quatre et on ignorera tout des trois autres. Ah ok mais pourquoi alors mettre le focus sur ces personnages de la sorte ? Bref ce roman est mal construit. Il n’y a pas de trame. Il y a des personnages qui ne servent à rien pour l’intrigue si je puis dire. C’est plat. Le suspense n’est pas au rendez-vous. En tout cas, je n’ai pas du tout été prise par l’intrigue comme ça a pu être le cas avec certains bon thrillers. Là certains indices sont même un peu tirés par les cheveux et tombent comme par magie. C’est dommage car je persiste à croire que l’idée de départ était bonne, voir même très bonne. C’était une super idée en effet de voir comment avec les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter, on pouvait manipuler l’information, embrigadé les gens et pourquoi pas se passer des journalistes. Mais non, c’est pas ça. L’idée de départ est peu ou pas exploitée. C’est grossier, sans intérêt. Bref pour moi, ça a été une grosse mais grosse déception. Et franchement je vous recommanderai pas la lecture de Trouble[s].

La quatrième de couverture : Six otages filmés par webcam. Des millions de votants sur Facebook. A vous de choisir qui restera en vie. « Au secours ! » Quand le jeune Tom Laughton lit ce message sur le Facebook de son ami Erasmus, il se moque de lui : « Alors, Erasmus, de retour à Londres ? « Mais Erasmus ne répondra pas, car il vient d’être kidnappé, avec cinq autres personnes provenant des quatre coins du monde. Aussitôt, des vidéos des séquestrés commencent à circuler sur Internet. Ni la police, menée par l’agence Clara Capland, ni les médias ne parviennent à mettre un terme à la plus incroyable prise d’otages que le monde ait connue. Le pire surgit alors sous la forme d’un vote sur Facebook : « Choisissez celui que vous voulez sauver. » Et pour montrer à tous qu’il est sérieux, le bourreau du monde virtuel tue un premier otage, froidement, en direct. « Pour celui-là, vous ne pouviez rien faire. Lequel des cinq autres allez-vous sauver ? » Tension permanente, rebondissements de haut-vol, fausses pistes et frayeurs, TROUBLE(S) est bâti comme la meilleure des séries américaines, et a le don de rendre tout aussi accro, dès les premières pages.

Prochaine lecture : Quand rentrent les marins de Angela Huth

La sélection, tome 2 : L’élite de Kiera Cass

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on 20 août 2014

la selection t.2 l'elite kiera cassEn juillet, j’ai lu le tome 1 de La sélection de Kiera Cass et je n’avais qu’une hâte, c’est de lire la suite intitulé L’Elite. Et bien voilà, j’ai acheté et j’ai lu L’Elite il y a quelques semaines. Mais comme je me suis inscrite aux LC proposés sur Livr@ddict pour le tome 2 et 3 également, j’ai joué le jeu et ai réservé ma chronique. Le temps est venu de vous livrer mon avis sur L’Elite :)

On retrouve dans ce tome America Singer embarquée dans la compétition qui vise pour le prince Maxon a choisir sa future épouse. Il ne reste plus que 6 candidates. Et de nouvelles éliminations vont encore avoir lieu au fil des semaines. America semble succomber au charme du prince qui continue à lui faire une cour assidue. Mais un évènement vient perturber tout ça : Marlee, la meilleure amie d’America est surprise en train de flirter avec un garde royal et est fouettée en place publique. Révoltée, America tente d’obtenir la clémence de Maxon mais celui-ci ne lui jette pas un regard. America, bouleversée lui bat froid les jours qui suivent. Le prince se rapproche alors de Kriss une autre candidate au grand dam d’America qui hésite toujours entre son amour pour Aspen et le Prince. Pendant ce temps, les rebelles continuent leurs attaques contre la famille royale tandis que Maxon apprend son métier de futur roi. Vers qui America, elle, va t’elle se tourner au final ?

Mon avis ? J’ai adoré. J’avais hâte de le lire et quand je me suis plongée dedans, je l’ai lu d’une traitre en une après-midi :) J’ai trouvé que dans ce tome les choses étaient approfondies. C’est rigolo parce que après une cinquantaine de pages, on pouvait avoir l’impression que l’affaire était bouclé et que ça allait vers le « Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants » et paf raté! Ça repart et ça repart de plus belle. L’auteur arrive à faire rebondir son histoire avec brio. Chapeau! Parce que sérieusement je me suis demandée ce qui allait se passer si vraiment America tombait tout de suite dans les bras de Maxon. En outre si j’avais un reproche à faire au tome 1, c’est que la rivalité et les mesquineries entre les filles n’apparaissaient pas trop, là cet aspect est d’avantage développé et mis en avant. C’est bien. On sent la rivalité entre Céleste et America. J’ai aimé aussi qu’America montre de la jalousie vis à vis des autres filles. Ça l’humanise si je puis dire. Ça rend aussi le personnage plus crédible. On quitte le registre du pur conte de fée dans ce tome. J’espère qu’il en ira de même au tome 3.

Bon on se retrouve maintenant le 20 septembre pour L’élue, le troisième et dernier tome de cette saga (même si je sais que je l’aurai lu bien avant la date fatidique) :)

La quatrième de couverture : La Sélection de 35 candidates s’est réduite comme peau de chagrin, et désormais l’Élite restante n’est plus composée que de 6 prétendantes. L’enjeu pour ces jeunes filles ? Convaincre le Prince Maxon, le Roi et la Reine ses parents, qu’elles sont les mieux à même de monter sur le trône d’Illéa, cette petite monarchie régie par un strict système de castes et déchirée par deux factions de rebelles qui veulent la faire tomber.
Pour America Singer, la donne est encore plus compliquée : ses sentiments pour Maxon viennent se heurter à son amour d’enfance pour Aspen, garde royal qui hante les couloirs du palais, et à son sens aigu de la justice trop souvent déçu par les décisions royales… Entre intrigues de cour, dilemmes tragiques et loyautés divisées, America navigue à vue dans la tourmente, en quête de la décision qui changera à jamais sa vie…

Prochaine lecture : Quand rentrent les marins de Angela Huth

L’idiot du palais de Bruno Deniel-Laurent

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on 19 août 2014

l'idiot dupalaisJe viens de lire l’un des 607 romans de la rentrée littéraire 2014 : L’idiot du palais de Bruno Deniel-Laurent publié aux éditions de La table ronde et qui sortira le 21 aout en librairie. C’est un premier roman et c’est drôlement bien!

L’histoire est celle de Dusan, un jeune agent de sécurité d’origine serbe. Il travaille dans le palais parisien d’un prince arabe. D’abord au service de la princesse puis du prince à qui il fournit des jeunes femmes pour ses partouzes. Jusqu’au jour où Dusan croise sur les boulevards extérieurs, Khadidja, une jeune prostituée à la beauté surprenante. Dusan pense être tombé amoureux. Pour pouvoir revoir sa belle, il est prêt à la vendre à nouveau au Prince. Mais à ce jeu, Dusan finit par signer sa perte.

Mon avis ? il y a quelques semaines, j’avais flashé sur ce livre en feuilletant le catalogue de l’éditeur. A la lecture, je n’ai pas été déçue loin de là. Ce court roman est une petite pépite de cette rentrée littéraire 2014. C’est un étonnant roman d’apprentissage que signe là Bruno Deniel-Laurent. Dusan au contact de Khadidja ouvrira en effet les yeux et comprendra que sa liberté est bien la chose la plus importante. En bref, si vous ne deviez lie qu’un seul livre de cette rentrée littéraire, je crois bien que ça devrait être celui-là! Oui bon j’exagère peut-être un peu (j’ai encore rien lu d’autres sur les six cent romans à paraitre) mais juste un peu :) En tout cas, vous l’aurez compris, j’ai été conquise. J’espère qu’il en sera de même pour vous.

La quatrième de couverture : On l’appelle le Palais. C’est une prison dorée des beaux quartiers de Paris. Originaire de Serbie, Dušan vient d’y être recruté comme agent de sécurité. Au service de la Princesse, il passe son temps à attendre, simple figurant d’une farce où se mélangent le protocole et les caprices.
Lorsque le Prince débarque sans préavis des États-Unis, Dušan endosse un nouveau rôle. Le «docteur» Élias, âme damnée des lieux, lui confie la mission délicate de pourvoir aux fantasmes du Prince. C’est ainsi qu’il recrute Khadija sur les boulevards extérieurs. Il ne sait pas qu’en la ramenant au Palais il va signer sa propre perte. Et retrouver le goût de la liberté.

Cette lecture compte pour le challenge 1% de la rentrée littéraire

challengerl2014

Prochaine lecture : Quand rentrent les marins de Angela Huth